La présidente de la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI), Namizata Sangaré, qui dit suivre de près les dossiers liés à la crise postélectorale, s’est prononcée mardi 28 avril 2017 sur la Radio de la Paix, sur les dernières décisions de justice, notamment l’affaire « les disparus de Novotel ».
Elle a profité pour lancer un appel aux autorités ivoiriennes : « Une décision est tombée, des coupables ont été condamnés et nous suivons avec beaucoup d’attention la suite de cette audience-là. Parce que nous avons été saisis par les mises en cause et les avocats également, et donc nous attendons la suite parce qu’ils comptent se pourvoir en cassation. Nous encourageons les autorités, à accélérer, à organiser toutes les audiences en lien avec la crise postélectorale. Pour que les mis en cause soient situés sur leurs sorts ».
Pour rappel, au terme du procès « les disparus de novotel », la cour a infligé 18 ans de prison au général Brunot Dogbo Blé et à ses deux adjoints, les colonels Jean Aby et Leopold Okou Mody. Le commissaire Osée Loguey a, lui, écopé de 20 ans de prison tandis que deux autres membres du commando, Henri Guehi Bleka, dit "le Rougeaud", et Yoro Tapeko ont respectivement écopé de peines de 10 ans et 6 ans de prison. Quatre autres accusés ont été acquittés.
T.A.B avec EA
Elle a profité pour lancer un appel aux autorités ivoiriennes : « Une décision est tombée, des coupables ont été condamnés et nous suivons avec beaucoup d’attention la suite de cette audience-là. Parce que nous avons été saisis par les mises en cause et les avocats également, et donc nous attendons la suite parce qu’ils comptent se pourvoir en cassation. Nous encourageons les autorités, à accélérer, à organiser toutes les audiences en lien avec la crise postélectorale. Pour que les mis en cause soient situés sur leurs sorts ».
Pour rappel, au terme du procès « les disparus de novotel », la cour a infligé 18 ans de prison au général Brunot Dogbo Blé et à ses deux adjoints, les colonels Jean Aby et Leopold Okou Mody. Le commissaire Osée Loguey a, lui, écopé de 20 ans de prison tandis que deux autres membres du commando, Henri Guehi Bleka, dit "le Rougeaud", et Yoro Tapeko ont respectivement écopé de peines de 10 ans et 6 ans de prison. Quatre autres accusés ont été acquittés.
T.A.B avec EA