Abidjan (Côte d’Ivoire) - La Coordination estudiantine et scolaire d’Afrique (CESA) a salué, jeudi, la libération des étudiants qui avaient été arrêtés au Niger à la suite des mouvements de protestation ayant entraîné des heurts avec des forces de sécurité.
«Notre appel lancé a eu un écho favorable qui s’est soldé par la libération de nos camarades et du limogeage du Ministre de l’Enseignement Supérieur du Niger », indique Fulgence Assi, Secrétaire général de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI) également Secrétaire général de la Coordination estudiantine et scolaire d’Afrique (CESA) dans un communiqué de presse.
Fulgence Assi, initiateur d’un sit-in mardi, devant l’ambassade du Niger en Côte d’Ivoire, avait appelé à des manifestations similaires dans les autres capitales africaines. Il a salué « toutes les organisations membres de la CESA, les organisations de défenses des droits de l’Homme et l’ensemble des élèves et étudiants d’Afrique et d’ailleurs pour l’intérêt accordé à cette volonté de justice, de liberté et à cette solidarité agissante », indique le communiqué de presse.
Des heurts ont éclaté, au Niger, entre policiers et étudiants qui manifestaient le lundi 10 avril dernier pour de meilleures conditions d’études.Les autorités nigériennes avaient par la suite fermé le campus de Niamey et celui de Maradi.
SY/hs/ls/APA
«Notre appel lancé a eu un écho favorable qui s’est soldé par la libération de nos camarades et du limogeage du Ministre de l’Enseignement Supérieur du Niger », indique Fulgence Assi, Secrétaire général de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI) également Secrétaire général de la Coordination estudiantine et scolaire d’Afrique (CESA) dans un communiqué de presse.
Fulgence Assi, initiateur d’un sit-in mardi, devant l’ambassade du Niger en Côte d’Ivoire, avait appelé à des manifestations similaires dans les autres capitales africaines. Il a salué « toutes les organisations membres de la CESA, les organisations de défenses des droits de l’Homme et l’ensemble des élèves et étudiants d’Afrique et d’ailleurs pour l’intérêt accordé à cette volonté de justice, de liberté et à cette solidarité agissante », indique le communiqué de presse.
Des heurts ont éclaté, au Niger, entre policiers et étudiants qui manifestaient le lundi 10 avril dernier pour de meilleures conditions d’études.Les autorités nigériennes avaient par la suite fermé le campus de Niamey et celui de Maradi.
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