A l’initiative de l’Association des Cabinets d’Avocats d’Affaires Africains (ABLFA) et en collaboration avec la Banque Africaine de Développement (BAD), le Fonds Africain de Développement, la Banque Africaine d’Import-Export et la Société Financière Africaine (AFC), s’est ouvert le jeudi 20 avril 2017 à la Chambre de Commerce des Etats-Unis à Washington, la 3ème edition de la Conférence Juridique sur les investissements en Afrique autour du theme, “la Structuration des Transactions en Afrique”.
L’honneur est revenu à Scott Eisner, Premier Vice-Président pour l’Afrique, de la Chambre de Commerce américaine et Président du Centre des Affaires Etats-Unis - Afrique de dire le mot de bienvenue. Il a saisi l’occasion de son intervention pour exprimer ses felicitations et sa gratitude à l’ABLFA qui par cette initiative permet aux acteurs du secteur privé américain de s’imprégner de la structuration des transactions en Afrique.
A sa suite le président de l’ABLFA, Michel Brizoua-Bi a expliqué le sens de la Conférence de Washington. Selon le juriste ivoirien, cette conférence a pour objectif de permettre aux acteurs du secteur privé américain de connaître la réalité de la structuration des transactions en Afrique. Le president de l’ABLFA a dit sa satisfaction au regard des échanges qui ont confirmé l’intérêt des Américains pour l’investissement en Afrique.
Ce regain d’intérêt affiché par les participants à cette conférence, conforte l’ABLFA à poursuivre ses conférences qui réunissent les experts Africains du Droit et le secteur privé international, a affirmé son President. Michel Brizoua-Bi a fait un plaidoyer pour plus d’implication des acteurs locaux par les pouvoirs publics dans la mise en place des réformes structurelles. C’est autour de trente Cabinets d’Avocats d’Affaires africains qui prennent part à la conférence de Washington.
Durant 48 heures, les participants à la 3ème édition de la Conférence Juridique sur les investissements en Afrique auront à plancher sur des themes tout aussi importants. Entre autres, “Structuration des Transactions en Afrique: Regards des institutions financières”, “Investissements dans les Energies et les Infrastructures en Afrique: comment réussir?”, “Investissements dans les Ressources Naturelles en Afrique: comment réussir?”, “Structuration des Transactions en Côte d’Ivoire, au Nigéria et en Tanzanie”
Pour répondre aux besoins croissants de sa clientèle en matière d’opérations internationales, le Cabinet a noué des liens étroits de collaboration avec les cabinets les plus réputés du continent et des autres grandes places financières du monde.
La taille de son équipe composée d’une vingtaine d’avocats et l’étendue de son réseau international lui permettent d’offrir à sa clientèle une assistance juridique et judiciaire de qualité dans la recherche de solutions à des problématiques de droit national, communautaire ou international.
Atapointe, envoyé spécial à Washington
L’honneur est revenu à Scott Eisner, Premier Vice-Président pour l’Afrique, de la Chambre de Commerce américaine et Président du Centre des Affaires Etats-Unis - Afrique de dire le mot de bienvenue. Il a saisi l’occasion de son intervention pour exprimer ses felicitations et sa gratitude à l’ABLFA qui par cette initiative permet aux acteurs du secteur privé américain de s’imprégner de la structuration des transactions en Afrique.
A sa suite le président de l’ABLFA, Michel Brizoua-Bi a expliqué le sens de la Conférence de Washington. Selon le juriste ivoirien, cette conférence a pour objectif de permettre aux acteurs du secteur privé américain de connaître la réalité de la structuration des transactions en Afrique. Le president de l’ABLFA a dit sa satisfaction au regard des échanges qui ont confirmé l’intérêt des Américains pour l’investissement en Afrique.
Ce regain d’intérêt affiché par les participants à cette conférence, conforte l’ABLFA à poursuivre ses conférences qui réunissent les experts Africains du Droit et le secteur privé international, a affirmé son President. Michel Brizoua-Bi a fait un plaidoyer pour plus d’implication des acteurs locaux par les pouvoirs publics dans la mise en place des réformes structurelles. C’est autour de trente Cabinets d’Avocats d’Affaires africains qui prennent part à la conférence de Washington.
Durant 48 heures, les participants à la 3ème édition de la Conférence Juridique sur les investissements en Afrique auront à plancher sur des themes tout aussi importants. Entre autres, “Structuration des Transactions en Afrique: Regards des institutions financières”, “Investissements dans les Energies et les Infrastructures en Afrique: comment réussir?”, “Investissements dans les Ressources Naturelles en Afrique: comment réussir?”, “Structuration des Transactions en Côte d’Ivoire, au Nigéria et en Tanzanie”
Pour répondre aux besoins croissants de sa clientèle en matière d’opérations internationales, le Cabinet a noué des liens étroits de collaboration avec les cabinets les plus réputés du continent et des autres grandes places financières du monde.
La taille de son équipe composée d’une vingtaine d’avocats et l’étendue de son réseau international lui permettent d’offrir à sa clientèle une assistance juridique et judiciaire de qualité dans la recherche de solutions à des problématiques de droit national, communautaire ou international.
Atapointe, envoyé spécial à Washington
