Les pays producteurs tiennent un sommet de crise sur la baisse du cours mondial du cacao ce lundi 24 avril 2017, à Abidjan. Il a pour objectif de trouver des solutions concertées et durables à la conjoncture qui frappe de plein fouet ce secteur.
Selon Luis Valverde, président du Conseil international du cacao (ICCO), chaque pays doit assumer ses responsabilités en vue de trouver ensemble et rapidement des solutions durables à la chute des cours mondiaux de la fève de cacao. « Du fait de la situation actuelle, le temps nous est compté ; il faut réévaluer nos plans nationaux. Il nous faut adopter des stratégies efficaces et efficientes pour résoudre le problème sur le court et moyens terme », a-t-il exhorté.
C’est une crise «majeure » et « brutale », à en croire Dr Jean Marc Anga, Directeur exécutif de l’ICCO, qui aura des conséquences sur l’économie des pays producteurs. Les cours mondiaux du cacao, a-t-il appuyé, ont chuté de 30 % en 6 mois. Et cette crise, va affaiblir davantage les pays pauvres producteurs de cacao.
«L’effondrement de l’économie cacaoyère est un danger pour la paix et la stabilité dans le monde», a indiqué, quant à lui, Mamadou Sangafowa Coulibaly, ministre ivoirien de l’agriculture. Pour lui, l’opportunité de cette rencontre n’est plus à démontrée. Relevant que «le prix de la fève de cacao connait une chute très forte en un temps très court sur le marché mondial, ébranlant ainsi le socle de l’économie de nos pays». Aussi, a-t-il assuré du soutien de la Côte d’Ivoire et du président de la République Alassane Ouattara à ce sommet de crise sur la baisse du cours mondial du cacao.
D.Tagro
Selon Luis Valverde, président du Conseil international du cacao (ICCO), chaque pays doit assumer ses responsabilités en vue de trouver ensemble et rapidement des solutions durables à la chute des cours mondiaux de la fève de cacao. « Du fait de la situation actuelle, le temps nous est compté ; il faut réévaluer nos plans nationaux. Il nous faut adopter des stratégies efficaces et efficientes pour résoudre le problème sur le court et moyens terme », a-t-il exhorté.
C’est une crise «majeure » et « brutale », à en croire Dr Jean Marc Anga, Directeur exécutif de l’ICCO, qui aura des conséquences sur l’économie des pays producteurs. Les cours mondiaux du cacao, a-t-il appuyé, ont chuté de 30 % en 6 mois. Et cette crise, va affaiblir davantage les pays pauvres producteurs de cacao.
«L’effondrement de l’économie cacaoyère est un danger pour la paix et la stabilité dans le monde», a indiqué, quant à lui, Mamadou Sangafowa Coulibaly, ministre ivoirien de l’agriculture. Pour lui, l’opportunité de cette rencontre n’est plus à démontrée. Relevant que «le prix de la fève de cacao connait une chute très forte en un temps très court sur le marché mondial, ébranlant ainsi le socle de l’économie de nos pays». Aussi, a-t-il assuré du soutien de la Côte d’Ivoire et du président de la République Alassane Ouattara à ce sommet de crise sur la baisse du cours mondial du cacao.
D.Tagro