Réunis autour du Directeur général de la Banque internationale pour le Commerce et l’Industrie de Côte d’Ivoire (BICICI), Jean-Louis Menann-Kouamé, 27 chefs d’entreprises ont signé jeudi à Abidjan « une charte de la Diversité en entreprise», exprimant ainsi leur volonté d’agir pour mieux refléter, dans leurs effectifs, la diversité de la population.
« A travers cette charte, les entreprises s’engagent à sensibiliser et former les dirigeants et collaborateurs impliqués dans le recrutement, la formation et la gestion des carrières, aux enjeux de la non-discrimination et de la diversité », a expliqué Barbara Leveel, Responsable Diversité Paris. Après avoir indiqué que la charte, objet de signature ce jour est déjà en vigueur au Maroc et au Sénégal, Barbara Leveel a affirmé que « c’est une question d’égalité des chances et d’éthique ».
Le DG de la BICICI, Jean-Louis Menann-Kouamé a révélé que les objectifs poursuivis par les entreprises signataires résultent d’un brainstorming d’une dizaine d’entreprise. « Elles traduisent en acte un souhait des autorités ivoiriennes quant à la prise en compte des différences dans le travail », a-t-il dit. A sa suite, le président du patronat ivoirien et PCA de la BICICI, Jean Marie Ackah a affirmé que « la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI) partage la vision selon laquelle l’essor de l’économie ne peut trouver de sens que dans un monde lui-même en harmonie, laquelle harmonie ne peut être possible qu’en tenant compte de la diversité ». Il a exprimé le souhait de voir cette charte « toucher le maximum des 1500 entreprises membres de la CGECI ».
Pour Kadiatou Cissoko, la Responsable Projet Diversité RSE Paris, avec ces signatures, « une marche irréversible est engagée ». Car selon elle, la grande entreprise de demain ne se distinguera pas par son bilan financier uniquement mais bien plus par sa capacité à intégrer en son sein la diversité.
Après avoir rappelé que la question de la Diversité et des discriminations a toujours été au cœur des entreprises, le vice-président Daniel Kablan Duncan a affirmé que « dans une société de progrès, la diversité n’est pas imposée, maie elle s’assume ». Il a reconnu que les points qui fondent cette charte sont « pertinents ». A l’endroit des chefs d’entreprise, il a demandé de « sensibiliser » leurs collaborateurs sur « le bien fondé » de cette charte, les « encourager » et leur montrer ses avantages. »Vous pouvez compter sur le Gouvernement pour vous aider dans la promotion de cette charte », a conclu le vice président Duncan.
Articulée autour de sept points, la charte guide l’entreprise dans la mise en place de nouvelles pratiques, en y associant l’ensemble des collaborateurs et partenaires. Ramenée au Management des Ressources Humaines, la Diversité est un processus transversal qui intervient lors du recrutement, de la Formation, de la Gestion des Carrières et de la rémunération.
Elisée B.
« A travers cette charte, les entreprises s’engagent à sensibiliser et former les dirigeants et collaborateurs impliqués dans le recrutement, la formation et la gestion des carrières, aux enjeux de la non-discrimination et de la diversité », a expliqué Barbara Leveel, Responsable Diversité Paris. Après avoir indiqué que la charte, objet de signature ce jour est déjà en vigueur au Maroc et au Sénégal, Barbara Leveel a affirmé que « c’est une question d’égalité des chances et d’éthique ».
Le DG de la BICICI, Jean-Louis Menann-Kouamé a révélé que les objectifs poursuivis par les entreprises signataires résultent d’un brainstorming d’une dizaine d’entreprise. « Elles traduisent en acte un souhait des autorités ivoiriennes quant à la prise en compte des différences dans le travail », a-t-il dit. A sa suite, le président du patronat ivoirien et PCA de la BICICI, Jean Marie Ackah a affirmé que « la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI) partage la vision selon laquelle l’essor de l’économie ne peut trouver de sens que dans un monde lui-même en harmonie, laquelle harmonie ne peut être possible qu’en tenant compte de la diversité ». Il a exprimé le souhait de voir cette charte « toucher le maximum des 1500 entreprises membres de la CGECI ».
Pour Kadiatou Cissoko, la Responsable Projet Diversité RSE Paris, avec ces signatures, « une marche irréversible est engagée ». Car selon elle, la grande entreprise de demain ne se distinguera pas par son bilan financier uniquement mais bien plus par sa capacité à intégrer en son sein la diversité.
Après avoir rappelé que la question de la Diversité et des discriminations a toujours été au cœur des entreprises, le vice-président Daniel Kablan Duncan a affirmé que « dans une société de progrès, la diversité n’est pas imposée, maie elle s’assume ». Il a reconnu que les points qui fondent cette charte sont « pertinents ». A l’endroit des chefs d’entreprise, il a demandé de « sensibiliser » leurs collaborateurs sur « le bien fondé » de cette charte, les « encourager » et leur montrer ses avantages. »Vous pouvez compter sur le Gouvernement pour vous aider dans la promotion de cette charte », a conclu le vice président Duncan.
Articulée autour de sept points, la charte guide l’entreprise dans la mise en place de nouvelles pratiques, en y associant l’ensemble des collaborateurs et partenaires. Ramenée au Management des Ressources Humaines, la Diversité est un processus transversal qui intervient lors du recrutement, de la Formation, de la Gestion des Carrières et de la rémunération.
Elisée B.