L'Agence africaine d'assurance commerciale (ATI) prévoit d'ouvrir un centre en Afrique de l'Ouest afin de renforcer sa présence en Afrique, ont annoncé jeudi des responsables.
L'ATI, qui appartient à 13 gouvernements africains, a déclaré que le centre de l'Afrique de l'Ouest lui permettrait de s'ouvrir à la partie anglophone de la sous-région.
"Nous avons déjà deux États francophones d'Afrique de l'Ouest en tant que membres mais nous devons couvrir la majeure partie de la région au cours des deux prochaines années", a affirmé George Otieno, PDG de l'ATI.
L'ATI, qui a été fondée en 2001 par les États d'Afrique pour couvrir les risques commerciaux, politiques et d'investissement des entreprises exerçant leurs activités en Afrique, a enregistré un bénéfice net de 6,4 millions de dollars en 2016.
Les États membres de l'ATI comprennent le Kenya, l'Ouganda, la Tanzanie, le Burundi, le Malawi, la Zambie, le Zimbabwe, la République démocratique du Congo, la Côte d'Ivoire, l'Éthiopie, le Bénin et Madagascar. Le Kenya est actuellement le plus grand actionnaire de l'ATI.
L'assureur d'investissement multilatéral est en train de négocier activement avec le Ghana, le Nigéria, le Cameroun et la Sierra Leone afin qu'ils rejoignent l'agence en investissant un minimum de 7,5 millions de dollars.
Le Soudan du Sud devrait rejoindre officiellement à l'ATI dans les prochains mois après avoir reçu un prêt de 7,5 millions de dollars de la Banque africaine de développement pour activer son adhésion.
M. Otieno a indiqué qu'il y a une demande croissante pour les produits de l'ATI en raison de la baisse des produits mondiaux qui a affaibli la situation financière dans certaines économies africaines.
Le PDG a révélé que le conseil d'administration de l'ATI a récemment approuvé une motion qui lui permet de souscrire des offres sélectionnées dans n'importe quel pays d'Afrique.
L'ATI, qui appartient à 13 gouvernements africains, a déclaré que le centre de l'Afrique de l'Ouest lui permettrait de s'ouvrir à la partie anglophone de la sous-région.
"Nous avons déjà deux États francophones d'Afrique de l'Ouest en tant que membres mais nous devons couvrir la majeure partie de la région au cours des deux prochaines années", a affirmé George Otieno, PDG de l'ATI.
L'ATI, qui a été fondée en 2001 par les États d'Afrique pour couvrir les risques commerciaux, politiques et d'investissement des entreprises exerçant leurs activités en Afrique, a enregistré un bénéfice net de 6,4 millions de dollars en 2016.
Les États membres de l'ATI comprennent le Kenya, l'Ouganda, la Tanzanie, le Burundi, le Malawi, la Zambie, le Zimbabwe, la République démocratique du Congo, la Côte d'Ivoire, l'Éthiopie, le Bénin et Madagascar. Le Kenya est actuellement le plus grand actionnaire de l'ATI.
L'assureur d'investissement multilatéral est en train de négocier activement avec le Ghana, le Nigéria, le Cameroun et la Sierra Leone afin qu'ils rejoignent l'agence en investissant un minimum de 7,5 millions de dollars.
Le Soudan du Sud devrait rejoindre officiellement à l'ATI dans les prochains mois après avoir reçu un prêt de 7,5 millions de dollars de la Banque africaine de développement pour activer son adhésion.
M. Otieno a indiqué qu'il y a une demande croissante pour les produits de l'ATI en raison de la baisse des produits mondiaux qui a affaibli la situation financière dans certaines économies africaines.
Le PDG a révélé que le conseil d'administration de l'ATI a récemment approuvé une motion qui lui permet de souscrire des offres sélectionnées dans n'importe quel pays d'Afrique.