Abidjan – L’Autorité de régulation du secteur des télécommunications sur le territoire ivoirien tient jeudi et vendredi un important séminaire consacré au thème des « Problématiques de régulation des services financiers mobiles/numériques ».
Pendant deux jours, les participants, représentants d’utilisateurs, opérateurs du secteur et associations de consommateurs devront produire un document faisant l’état des lieux et proposant un cadre réglementaire de l’usage et de la protection des usagers.
Les questions de politique nationale en matière d’inclusion financière, le marché, l’interconnexion et l’interopérabilité seront étudiées pour « la traçabilité, la sécurité, la protection des données et la protection des utilisateurs », a indiqué le directeur général de l’ARTCI, Bilé Diémélou, à l'ouverture des travaux.
Le secteur représente plus de 7,6 millions d’abonnés au « mobile money » pour quelque 58 milliards de francs CFA générés par les trois principaux opérateurs, à hauteur de 15 à 18 milliards de FCFA de transactions journalières, a relevé le Conseiller spécial du ministre de l’Economie et des Finances, Fadiga Issa.
Pour sa part, Sako Ahmed, représentant le ministre de la Communication, de l’Economie numérique et de la Poste, a pointé du doigt la faible bancarisation des revenus contre l’explosion des comptes mobiles.
Il a donc souhaité qu’en vue d’une Cote d’Ivoire, « plateforme financière en Afrique, sinon de l’Ouest », cette « innovation africaine » facilite l’inclusion financière des économiquement faibles.
(AIP)
aaa/fmo
Pendant deux jours, les participants, représentants d’utilisateurs, opérateurs du secteur et associations de consommateurs devront produire un document faisant l’état des lieux et proposant un cadre réglementaire de l’usage et de la protection des usagers.
Les questions de politique nationale en matière d’inclusion financière, le marché, l’interconnexion et l’interopérabilité seront étudiées pour « la traçabilité, la sécurité, la protection des données et la protection des utilisateurs », a indiqué le directeur général de l’ARTCI, Bilé Diémélou, à l'ouverture des travaux.
Le secteur représente plus de 7,6 millions d’abonnés au « mobile money » pour quelque 58 milliards de francs CFA générés par les trois principaux opérateurs, à hauteur de 15 à 18 milliards de FCFA de transactions journalières, a relevé le Conseiller spécial du ministre de l’Economie et des Finances, Fadiga Issa.
Pour sa part, Sako Ahmed, représentant le ministre de la Communication, de l’Economie numérique et de la Poste, a pointé du doigt la faible bancarisation des revenus contre l’explosion des comptes mobiles.
Il a donc souhaité qu’en vue d’une Cote d’Ivoire, « plateforme financière en Afrique, sinon de l’Ouest », cette « innovation africaine » facilite l’inclusion financière des économiquement faibles.
(AIP)
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