Les services financiers mobiles/numériques en Côte d’Ivoire affichent un taux de 83% de couverture du territoire (réseau mobile) avec de plus en plus l’adoption du mobile money comme moyen pour effectuer des transactions quotidiennes : paiement marchand, règlement de factures, paiement de scolarité, paiement de salaire, épargne, micro-assurance, etc…
La régulation de cet écosystème a donné cours à plusieurs actions dont l’implication de l’ARTCI (Autorité de régulation des télécommunications/TIC de Côte d’Ivoire) et la BCEAO (Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’ouest) dans la création d’un comité technique en charge d’approfondir conjointement la réflexion sur cette question.
Dans le cadre des travaux menés par ce comité bipartite, un séminaire sur la problématique de la régulation des services financiers mobiles/numériques a été organisé du 04 au 05 mai 2017, à Abidjan, par l’ARTCI.
Ce séminaire vise à parvenir à l’élaboration de lignes directrices en vue d’accompagner le développement et d’assurer une régulation efficiente des Services financiers mobiles/numériques (SFM/N) en Côte d’Ivoire pour une inclusion financière véritables des populations.
Les travaux devront plus spécifiquement permettre d’élaborer des dispositions relatives à la création d’un environnement favorable au développement d’une concurrence réelle sur le marché des SFM/N, la création de nouveaux services, l’interopérabilité des services et l’interconnexion des réseaux.
Mais également, ces réflexions pour la mise en œuvre d’un cadre régulateur des SFM/N devront déboucher sur la sécurité des systèmes, des plateformes, des terminaux ; la supervision et la traçabilité des transactions électroniques financières.
En un mot, les acteurs du système financier mobile et numérique auront, au cours de ces journées, à penser une politique de protection des consommateurs relative à la qualité de service, la sécurité des transactions, la protection des données personnelles, des tarifs transparents et abordables, à l’éduction et à l’information.
Selon le DG de l’ARTCI, M. Bilé Diémeleou, pour offrir une entière satisfaction à tous ceux qui utilisent les services financiers mobiles et numériques, il faut impérativement une convergence des actions de l’ARTCI et la BCEAO pour une régulation efficiente des transactions qui s’estiment actuellement à 5300 milliards F CFA.
JOB ATTEMENE
La régulation de cet écosystème a donné cours à plusieurs actions dont l’implication de l’ARTCI (Autorité de régulation des télécommunications/TIC de Côte d’Ivoire) et la BCEAO (Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’ouest) dans la création d’un comité technique en charge d’approfondir conjointement la réflexion sur cette question.
Dans le cadre des travaux menés par ce comité bipartite, un séminaire sur la problématique de la régulation des services financiers mobiles/numériques a été organisé du 04 au 05 mai 2017, à Abidjan, par l’ARTCI.
Ce séminaire vise à parvenir à l’élaboration de lignes directrices en vue d’accompagner le développement et d’assurer une régulation efficiente des Services financiers mobiles/numériques (SFM/N) en Côte d’Ivoire pour une inclusion financière véritables des populations.
Les travaux devront plus spécifiquement permettre d’élaborer des dispositions relatives à la création d’un environnement favorable au développement d’une concurrence réelle sur le marché des SFM/N, la création de nouveaux services, l’interopérabilité des services et l’interconnexion des réseaux.
Mais également, ces réflexions pour la mise en œuvre d’un cadre régulateur des SFM/N devront déboucher sur la sécurité des systèmes, des plateformes, des terminaux ; la supervision et la traçabilité des transactions électroniques financières.
En un mot, les acteurs du système financier mobile et numérique auront, au cours de ces journées, à penser une politique de protection des consommateurs relative à la qualité de service, la sécurité des transactions, la protection des données personnelles, des tarifs transparents et abordables, à l’éduction et à l’information.
Selon le DG de l’ARTCI, M. Bilé Diémeleou, pour offrir une entière satisfaction à tous ceux qui utilisent les services financiers mobiles et numériques, il faut impérativement une convergence des actions de l’ARTCI et la BCEAO pour une régulation efficiente des transactions qui s’estiment actuellement à 5300 milliards F CFA.
JOB ATTEMENE