Le Secrétaire général Adjoint du Rassemblement des Républicains (RDR) chargé de la Communication, Joël N’guessan, Porte-Parole dudit parti a estimé, jeudi que « le nouveau Projet de Loi sur la presse est une avancée significative ».
Dans une note transmise à APA, Joel N’guessan indique qu’après « plusieurs analyses et lectures, nous constatons que le nouveau Projet de Loi sur la presse est une avancée significative par rapport à la Loi de 2004 en matière de procédures judiciaires ».
Comme arguments pour justifier cette position, l’ex-ministre en charge des droits de l’Homme, souligne que « le nouveau Projet de Loi supprime la garde à vue contrairement à l’ancienne. Ce qui se comprend aisément, car il n’est pas nécessaire de garder à vue un journaliste qui donne suffisamment de garantie de représentativité au plan social ».
« En lisant et écoutant les arguments des uns et des autres, nous constatons aussi que les adversaires du Projet de Loi en cours d’analyse à l’Assemblée Nationale accusent injustement ce Projet de Loi d’être un recul alors qu’il n’en est rien », ajoute le Porte-parole du parti d’Alassane Ouattara qui invite « les journalistes et les amis de la presse et des médias qui sont de bonne foi à ne pas tomber dans le jeu de manipulation des pêcheurs en eau trouble ».
Les députés ont adopté , vendredi dernier, en commission deux projets de loi sur la presse et la communication audiovisuelle qui incluent ‘’ l’emprisonnement d’un à cinq ans, assortie d’une amende allant de 300.000 à 3.000.000 F CFA’’ pour des faits ‘’d’outrage au chef de l’Etat, atteinte à la sûreté de l’Etat et d’apologie des crimes de guerre et contre l’humanité, incitation au vol, pillage, meurtre, violence, à la xénophobie, haine sous toutes ses formes’’.
Les 13 associations des journalistes et professionnels de communication ont marqué leur ‘’opposition’’ à l’adoption de ces projets de loi attendus en séance plénière la semaine prochaine.
Selon les journalistes ivoiriens ‘’ces lois remettent en cause la dépénalisation des délits de presse acquise en 2004, après plus de trente ans de lutte’’.
Le Président du Front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi Nguessan, auparavant, dans une conférence de presse a dénoncé les dérives de la nouvelle loi sur la presse’’ précisant que ‘’l’article 90 de ce projet de loi est dépassé ».
SY/hs/ls/APA
Dans une note transmise à APA, Joel N’guessan indique qu’après « plusieurs analyses et lectures, nous constatons que le nouveau Projet de Loi sur la presse est une avancée significative par rapport à la Loi de 2004 en matière de procédures judiciaires ».
Comme arguments pour justifier cette position, l’ex-ministre en charge des droits de l’Homme, souligne que « le nouveau Projet de Loi supprime la garde à vue contrairement à l’ancienne. Ce qui se comprend aisément, car il n’est pas nécessaire de garder à vue un journaliste qui donne suffisamment de garantie de représentativité au plan social ».
« En lisant et écoutant les arguments des uns et des autres, nous constatons aussi que les adversaires du Projet de Loi en cours d’analyse à l’Assemblée Nationale accusent injustement ce Projet de Loi d’être un recul alors qu’il n’en est rien », ajoute le Porte-parole du parti d’Alassane Ouattara qui invite « les journalistes et les amis de la presse et des médias qui sont de bonne foi à ne pas tomber dans le jeu de manipulation des pêcheurs en eau trouble ».
Les députés ont adopté , vendredi dernier, en commission deux projets de loi sur la presse et la communication audiovisuelle qui incluent ‘’ l’emprisonnement d’un à cinq ans, assortie d’une amende allant de 300.000 à 3.000.000 F CFA’’ pour des faits ‘’d’outrage au chef de l’Etat, atteinte à la sûreté de l’Etat et d’apologie des crimes de guerre et contre l’humanité, incitation au vol, pillage, meurtre, violence, à la xénophobie, haine sous toutes ses formes’’.
Les 13 associations des journalistes et professionnels de communication ont marqué leur ‘’opposition’’ à l’adoption de ces projets de loi attendus en séance plénière la semaine prochaine.
Selon les journalistes ivoiriens ‘’ces lois remettent en cause la dépénalisation des délits de presse acquise en 2004, après plus de trente ans de lutte’’.
Le Président du Front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi Nguessan, auparavant, dans une conférence de presse a dénoncé les dérives de la nouvelle loi sur la presse’’ précisant que ‘’l’article 90 de ce projet de loi est dépassé ».
SY/hs/ls/APA