Abidjan - Des journalistes et blogueurs ont été instruits, vendredi, sur les conséquences de l’utilisation des pesticides obsolètes et déchets associés initiée par le ministère de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement durable et celui de l’Agriculture et du Développement rural.
Selon l’ingénieur phytosanitaire et qualité, Kouassi Gaston, l’utilisation de pesticides obsolètes entrainent des risques d’intoxication chez les paysans, ouvriers agricoles et les consommateurs. Les pesticides obsolètes sont la cause de cancer, de malformation congénitale, trouble neurologique, trouble du fœtus, retard de croissance et bien d’autres maladies, a-t-il indiqué.
Ces produits ont aussi un impact sur l’environnement à travers la contamination des eaux, le déséquilibre de l’écosystème et la destruction de la biodiversité. Mais également sur le développement économique et social qui se matérialise autour de la concurrence déloyale et la perte des chiffres d’affaires des entreprises, a-t-il enseigné.
Cette formation s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du projet de gestion des pesticides obsolètes en Côte d’Ivoire (PROGEP-CI) qui a pour objectif de minimiser la présence de pesticides non homologués, périmés, interdits, frauduleux et contrefaits.
Lancé en février 2016, ce programme, d’une durée de cinq ans, est financé à hauteur de 6,5 milliards francs CFA dont quatre milliards par la Banque mondiale à travers le Fonds mondial de l’environnement (FME) et 2,5 milliards par l’Etat ivoirien.
bsb/fmo
Selon l’ingénieur phytosanitaire et qualité, Kouassi Gaston, l’utilisation de pesticides obsolètes entrainent des risques d’intoxication chez les paysans, ouvriers agricoles et les consommateurs. Les pesticides obsolètes sont la cause de cancer, de malformation congénitale, trouble neurologique, trouble du fœtus, retard de croissance et bien d’autres maladies, a-t-il indiqué.
Ces produits ont aussi un impact sur l’environnement à travers la contamination des eaux, le déséquilibre de l’écosystème et la destruction de la biodiversité. Mais également sur le développement économique et social qui se matérialise autour de la concurrence déloyale et la perte des chiffres d’affaires des entreprises, a-t-il enseigné.
Cette formation s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du projet de gestion des pesticides obsolètes en Côte d’Ivoire (PROGEP-CI) qui a pour objectif de minimiser la présence de pesticides non homologués, périmés, interdits, frauduleux et contrefaits.
Lancé en février 2016, ce programme, d’une durée de cinq ans, est financé à hauteur de 6,5 milliards francs CFA dont quatre milliards par la Banque mondiale à travers le Fonds mondial de l’environnement (FME) et 2,5 milliards par l’Etat ivoirien.
bsb/fmo
