Abidjan - Le Mouvement ivoirien des droits humains (MIDH), dans une déclaration dont l’AIP a reçu copie, vendredi, se dit « préoccupé » par les dispositions de l’article 90 du projet de loi sur la presse et demande le retrait dudit article.
Pour le MIDH, « ce texte, s’il est adopté en l’état, constituerait un recul et une restriction grave à la liberté de la presse ». D’où son appel aux députés à retirer l’article incriminé lors de son adoption en plénières.
Par ailleurs, le MIDH suggère que la réforme en cours, adopte des mesures tendant à renforcer l’indépendance des instances de régulation de la presse que sont le CNP et HACA.
« Le MIDH estime que pour assurer l’indépendance de ces organes et leur permettre d’assurer efficacement les missions qui leur sont assignées, les présidents de ces organes devraient être élus par leurs membres », soutien l’organisation.
ti/akn/fmo
Pour le MIDH, « ce texte, s’il est adopté en l’état, constituerait un recul et une restriction grave à la liberté de la presse ». D’où son appel aux députés à retirer l’article incriminé lors de son adoption en plénières.
Par ailleurs, le MIDH suggère que la réforme en cours, adopte des mesures tendant à renforcer l’indépendance des instances de régulation de la presse que sont le CNP et HACA.
« Le MIDH estime que pour assurer l’indépendance de ces organes et leur permettre d’assurer efficacement les missions qui leur sont assignées, les présidents de ces organes devraient être élus par leurs membres », soutien l’organisation.
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