Après Luxor en Egypte et Agadir au Maroc, les Eléphants taekwondo ins ont encore frappé à Baku, la capitale d’Azerbaïdjan, où ils ont pris part au tournoi de taekwondo des 4es Jeux de la Solidarité Islamique. Une compétition classée G1 au niveau de la World Taekwondo Federation (WTF). Présente avec 5 athlètes (2 filles et 3 garçons) à ce tournoi qui a pris fin le 18 mai dernier, la Côte d’Ivoire a fait mieux que se défendre en récoltant deux médailles de bronze.
La première médaille de bronze a été remportée par Touré Aminata Charlène Dupond, dans la catégorie féminine des +73 kg. La protégée du coach Attada Tadjou est tombée en demi-finale, après un score de parité 11-11 face à son adversaire turque. Finalement, la décision des arbitres pour départager les deux combattantes, après un score vierge de 0-0 pendant les prolongations, a été en défaveur de l’Ivoirienne. Qui, n’a cependant pas démérité. Tout comme elle, Gbané Seydou, le héros de l’Open de Luxor en Egypte, a été presqu’impérial dans sa catégorie (-87 kg). Vainqueur de son quart de finale 27-07 contre un Tadjikistanais, il a déclaré malheureusement forfait en demi-finale, pour cause de blessure au doigt. Il s’est alors contenté du bronze. Les trois autres athlètes, Aka Chia Audrey (-49 kg), Touré Mohamed Icham (-63 kg) et Komenan Georges Emmanuel (-68 kg) sont tombés les armes à la main au stade des quarts de finale. On peut donc le dire, la délégation ivoirienne de taekwondo, a encore défendu bec et ongles le drapeau ivoirien à Baku, avec cette participation honorable. Toutefois, vu les potentialités des athlètes, l’on espère qu’ils réaliseront lors de la prochaine sortie, le plein de médailles. C’est tout le mal qu’on peut souhaiter aux protégés de Bamba Cheick Daniel qui ambitionne de qualifier au moins six athlètes aux prochains jeux Olympiques de Tokyo 2020.
Patricia Lyse
La première médaille de bronze a été remportée par Touré Aminata Charlène Dupond, dans la catégorie féminine des +73 kg. La protégée du coach Attada Tadjou est tombée en demi-finale, après un score de parité 11-11 face à son adversaire turque. Finalement, la décision des arbitres pour départager les deux combattantes, après un score vierge de 0-0 pendant les prolongations, a été en défaveur de l’Ivoirienne. Qui, n’a cependant pas démérité. Tout comme elle, Gbané Seydou, le héros de l’Open de Luxor en Egypte, a été presqu’impérial dans sa catégorie (-87 kg). Vainqueur de son quart de finale 27-07 contre un Tadjikistanais, il a déclaré malheureusement forfait en demi-finale, pour cause de blessure au doigt. Il s’est alors contenté du bronze. Les trois autres athlètes, Aka Chia Audrey (-49 kg), Touré Mohamed Icham (-63 kg) et Komenan Georges Emmanuel (-68 kg) sont tombés les armes à la main au stade des quarts de finale. On peut donc le dire, la délégation ivoirienne de taekwondo, a encore défendu bec et ongles le drapeau ivoirien à Baku, avec cette participation honorable. Toutefois, vu les potentialités des athlètes, l’on espère qu’ils réaliseront lors de la prochaine sortie, le plein de médailles. C’est tout le mal qu’on peut souhaiter aux protégés de Bamba Cheick Daniel qui ambitionne de qualifier au moins six athlètes aux prochains jeux Olympiques de Tokyo 2020.
Patricia Lyse
