Le samedi 20 au dimanche 21 mai 2017, la nouvelle du décès de Kouatchi Assié Jean, présenté comme un ex-garde de corps de l’ancien président du Conseil constitutionnel Francis Wodié, a fait le tour des réseaux sociaux. Elle a suscité des frustrations parce que les informations diffusées sur ces réseaux faisaient état de son décès en détention pour des raisons politiques. Vérité ou intox ?
« Le samedi 20 mai 2017, le condamné Kouatchi Assié Jean, qui purgeait une peine d’emprisonnement de 10 ans, à la Maison d’Arrêt et de Correction d’Abidjan (MACA) pour attentat ou complot contre l’autorité, est décédé au CHU de Treichville. L’état de santé du condamné avait nécessité son internement au centre de santé urbain spécialisé de la MACA, d’où il a été transféré au CHU de Yopougon. Vu la gravité de son état et pour une prise en charge plus adéquate, le samedi 13 mai 2017, il a été, à nouveau, transféré, cette fois, au CHU de Treichville, d’où il a, malheureusement, rendu l’âme pendant les soins qui lui étaient prodigués », a réagi, sur le sujet, le ministère de la Justice et des Droits de l’Homme via un communiqué signé du Directeur de l’Administration pénitentiaire.
Sur les raisons de sa mise aux arrêts depuis 2012, il ressort que juste au sortir de la crise postélectorale de 2010-2011, l’un de ses voisins l’aurait dénoncé pour détention de plusieurs armes.
Alex A
« Le samedi 20 mai 2017, le condamné Kouatchi Assié Jean, qui purgeait une peine d’emprisonnement de 10 ans, à la Maison d’Arrêt et de Correction d’Abidjan (MACA) pour attentat ou complot contre l’autorité, est décédé au CHU de Treichville. L’état de santé du condamné avait nécessité son internement au centre de santé urbain spécialisé de la MACA, d’où il a été transféré au CHU de Yopougon. Vu la gravité de son état et pour une prise en charge plus adéquate, le samedi 13 mai 2017, il a été, à nouveau, transféré, cette fois, au CHU de Treichville, d’où il a, malheureusement, rendu l’âme pendant les soins qui lui étaient prodigués », a réagi, sur le sujet, le ministère de la Justice et des Droits de l’Homme via un communiqué signé du Directeur de l’Administration pénitentiaire.
Sur les raisons de sa mise aux arrêts depuis 2012, il ressort que juste au sortir de la crise postélectorale de 2010-2011, l’un de ses voisins l’aurait dénoncé pour détention de plusieurs armes.
Alex A