Une analyse de "tâches" sur le tee-shirt d’une des sept femmes tuées en mars 2011 lors d’une manifestation à Abobo, au Nord d'Abidjan, "n’a pas révélé de trace de sang", a dit lundi un expert, Até kloosterman, au cours de son audition à la Cour pénale internationale (CPI).
Cette analyse, qui consistait à rechercher des traces de sang sur le tee-shirt porté par la victime lors de l’incident, "n’a pas révélé de trace de sang", selon le rapport de M. kloosterman.
"Nous avons refait le test. Nous avons vu des tâches suspicieuses sur le tee-shirt et effectué des tests pour voir s’il s’agissait de sang. Tous les tests étaient négatifs", a dit M. kloosterman, répondant à une question de la défense, au procès de l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo et l’ex-leader des "jeunes patriotes", Charles Blé Goudé.
Les sept femmes ont été tuées lors d’une marche des femmes en soutien à l’actuel président Alassane Ouattara. La manifestation avait été dispersée par les forces de l’ordre.
EFI
Cette analyse, qui consistait à rechercher des traces de sang sur le tee-shirt porté par la victime lors de l’incident, "n’a pas révélé de trace de sang", selon le rapport de M. kloosterman.
"Nous avons refait le test. Nous avons vu des tâches suspicieuses sur le tee-shirt et effectué des tests pour voir s’il s’agissait de sang. Tous les tests étaient négatifs", a dit M. kloosterman, répondant à une question de la défense, au procès de l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo et l’ex-leader des "jeunes patriotes", Charles Blé Goudé.
Les sept femmes ont été tuées lors d’une marche des femmes en soutien à l’actuel président Alassane Ouattara. La manifestation avait été dispersée par les forces de l’ordre.
EFI