Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le trafic ferroviaire ivoirien, assuré par Sitarail, atteint « 800.000 à 900.000 tonnes de marchandises par an », a indiqué jeudi Bernard N’Guessan, chef du département hydrocarbures au Groupe Bolloré transport & logistics.
Concernant le trafic « nous faisons 800.000 à 900.000 tonnes par an au niveau des marchandises et 30% au niveau des céréaliers dont 30% pour les hydrocarbures, 20% pour les produits alimentaires et 20% de divers », a précisé M. N’Guessan.
Le train au départ d’Abidjan dessert notamment le Burkina Faso et le Mali, deux pays voisins à la Côte d’Ivoire. Stationnés momentanément lors de la récente mutinerie des militaires, les wagons ont repris après les manifestations, a-t-il assuré.
« Nous avons bel et bien repris le trafic. On faisait certes les liaisons en temps marqué à Dimbokro (ville située à 240 km au nord d’Abidjan) pendant cette période mais, nous n’avons presque pas arrêté », a-t-il révélé.
Les mouvements d’humeur des soldats mutins ont toutefois » impacté » le trafic, a-t-il avoué, refusant de donner les statistiques en termes d’incidences financières.
La Côte d’Ivoire, pays leader de l’espace de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa), ambitionne de devenir un hub logistique régional. Le train, au départ d’Abidjan achemine également dans ces pays des marchandises à partir de la plateforme portuaire.
PIG/ap/ls
Concernant le trafic « nous faisons 800.000 à 900.000 tonnes par an au niveau des marchandises et 30% au niveau des céréaliers dont 30% pour les hydrocarbures, 20% pour les produits alimentaires et 20% de divers », a précisé M. N’Guessan.
Le train au départ d’Abidjan dessert notamment le Burkina Faso et le Mali, deux pays voisins à la Côte d’Ivoire. Stationnés momentanément lors de la récente mutinerie des militaires, les wagons ont repris après les manifestations, a-t-il assuré.
« Nous avons bel et bien repris le trafic. On faisait certes les liaisons en temps marqué à Dimbokro (ville située à 240 km au nord d’Abidjan) pendant cette période mais, nous n’avons presque pas arrêté », a-t-il révélé.
Les mouvements d’humeur des soldats mutins ont toutefois » impacté » le trafic, a-t-il avoué, refusant de donner les statistiques en termes d’incidences financières.
La Côte d’Ivoire, pays leader de l’espace de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa), ambitionne de devenir un hub logistique régional. Le train, au départ d’Abidjan achemine également dans ces pays des marchandises à partir de la plateforme portuaire.
PIG/ap/ls