"Le peuple est le premier gardien de la gestion du pouvoir d’Etat" a déclaré Affi N’guessan, président du FPI à la clôture de "la marche de la colère" effectuée ce samedi 17 juin. La marche qui a débuté à la gare de Bassam dans la commune de Treichville, s’est achevé à la place des martyres sis à Adjamé.
Pour Pascal Affi N’guessan et les membres de la coalition AFD, cette marche est organisée pour dénoncer les difficultés que rencontrent les ivoiriens depuis l’accession au pouvoir du président Alassane Ouattara.
"Nous sommes venus marcher pour les prisonniers politiques en prison depuis sept ans, pour les exilés, pour l’unité nationale en panne, pour le progrès social et pour soutenir les souscripteurs de l’agro-business" a déclaré Affi
Le président du FPI a également dénoncé la gestion du pouvoir en place car selon lui c’est un pouvoir répressif, qui n’aime pas la liberté et qui ne fait pas la promotion de la démocratie s’inscrivant dans une logique de dictature.
Le président du FPI s’est dit satisfait de cette marche, car les militants sont sortis malgré la pluie et la peur pour manifester leur mécontentement.
DA
Pour Pascal Affi N’guessan et les membres de la coalition AFD, cette marche est organisée pour dénoncer les difficultés que rencontrent les ivoiriens depuis l’accession au pouvoir du président Alassane Ouattara.
"Nous sommes venus marcher pour les prisonniers politiques en prison depuis sept ans, pour les exilés, pour l’unité nationale en panne, pour le progrès social et pour soutenir les souscripteurs de l’agro-business" a déclaré Affi
Le président du FPI a également dénoncé la gestion du pouvoir en place car selon lui c’est un pouvoir répressif, qui n’aime pas la liberté et qui ne fait pas la promotion de la démocratie s’inscrivant dans une logique de dictature.
Le président du FPI s’est dit satisfait de cette marche, car les militants sont sortis malgré la pluie et la peur pour manifester leur mécontentement.
DA