Abidjan- (Côte d’Ivoire) - Le procès de Michel Gbagbo, fils de l’ancien Président ivoirien poursuivi pour diffusion de fausses informations, initialement prévu vendredi à Abidjan a été renvoyé à la semaine prochaine, a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
« La procédure a été renvoyée à la semaine prochaine devant la juridiction spéciale. Il faut préciser qu’il y’a une juridiction spéciale pour juger les pro-Gbagbo au Tribunal », a précisé Me Ange Rodrigue Dadjé, l’avocat de Michel Gbagbo à la sortie de la salle d’audience du Tribunal d’Abidjan.
Poursuivant son explication face à la presse, l’avocat indique qu’il s’agit d’un « régime spécial (Juridiction spéciale) dont bénéficient les pro-Gbagbo ».
« La semaine prochaine la procédure vient devant la juridiction spéciale (…) apparemment le vendredi prochain (30 juin). Aujourd’hui, ils ne sont pas en état de le juger parce qu’il y’a eu un dysfonctionnement de l’appareil judiciaire qui fait que la procédure n’a pas été programmée », a ajouté Me Dadjé qui avait à ses côtés son client Michel Gbagbo.
Michel Gbagbo, le fils de l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo détenu à la Haye (Pays-Bas) de même que Laurent Despas, directeur général du site d’information Koaci.com avaient été convoqués vendredi, « pour divulgation de fausses nouvelles ».
Selon Me Dadjé, en « mai 2016, le Président de la république lors de son allocution avait déclaré qu’il n’y avait pas de prisonniers politiques en Côte d’Ivoire. La presse a fait réagir différentes personnalités du monde politique dont Michel Gbagbo qui a estimé qu’il y avait bel et bien des prisonniers politiques ».
SY/ls
« La procédure a été renvoyée à la semaine prochaine devant la juridiction spéciale. Il faut préciser qu’il y’a une juridiction spéciale pour juger les pro-Gbagbo au Tribunal », a précisé Me Ange Rodrigue Dadjé, l’avocat de Michel Gbagbo à la sortie de la salle d’audience du Tribunal d’Abidjan.
Poursuivant son explication face à la presse, l’avocat indique qu’il s’agit d’un « régime spécial (Juridiction spéciale) dont bénéficient les pro-Gbagbo ».
« La semaine prochaine la procédure vient devant la juridiction spéciale (…) apparemment le vendredi prochain (30 juin). Aujourd’hui, ils ne sont pas en état de le juger parce qu’il y’a eu un dysfonctionnement de l’appareil judiciaire qui fait que la procédure n’a pas été programmée », a ajouté Me Dadjé qui avait à ses côtés son client Michel Gbagbo.
Michel Gbagbo, le fils de l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo détenu à la Haye (Pays-Bas) de même que Laurent Despas, directeur général du site d’information Koaci.com avaient été convoqués vendredi, « pour divulgation de fausses nouvelles ».
Selon Me Dadjé, en « mai 2016, le Président de la république lors de son allocution avait déclaré qu’il n’y avait pas de prisonniers politiques en Côte d’Ivoire. La presse a fait réagir différentes personnalités du monde politique dont Michel Gbagbo qui a estimé qu’il y avait bel et bien des prisonniers politiques ».
SY/ls