Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le procès de Michel Gbagbo, le fils de l’ex-chef de l’Etat ivoirien et de Laurent Despas poursuivis devant le Tribunal d’Abidjan pour "divulgation de fausses nouvelles" a été reporté au 20 octobre prochain.
Le juge a justifié, vendredi, ce report par l’indisponibilité de Michel Gbagbo en mission à l’intérieur du pays en qualité de Président de jury du baccalauréat de même que Laurent Despas, en France actuellement.
Le procès de Michel Gbagbo, fils de l’ancien Président ivoirien poursuivi pour diffusion de fausses informations, initialement prévu vendredi dernier avait été renvoyé à ce jour.
Michel Gbagbo et Laurent Despas, Propriétaire d’un site d’information avaient été convoqués pour ‘’divulgation de fausses informations’’.
Selon Me Dadjé Me Ange Rodrigue Dadjé, l’avocat de la défense qui s’exprimait vendredi dernier « en mai 2016, le Président de la République lors de son allocution avait déclaré qu’il n’y avait pas de prisonniers politiques en Côte d’Ivoire. La presse a fait réagir différentes personnalités du monde politique dont Michel Gbagbo qui a estimé qu’il y avait bel et bien des prisonniers politiques ».
SY/ls/APA
Le juge a justifié, vendredi, ce report par l’indisponibilité de Michel Gbagbo en mission à l’intérieur du pays en qualité de Président de jury du baccalauréat de même que Laurent Despas, en France actuellement.
Le procès de Michel Gbagbo, fils de l’ancien Président ivoirien poursuivi pour diffusion de fausses informations, initialement prévu vendredi dernier avait été renvoyé à ce jour.
Michel Gbagbo et Laurent Despas, Propriétaire d’un site d’information avaient été convoqués pour ‘’divulgation de fausses informations’’.
Selon Me Dadjé Me Ange Rodrigue Dadjé, l’avocat de la défense qui s’exprimait vendredi dernier « en mai 2016, le Président de la République lors de son allocution avait déclaré qu’il n’y avait pas de prisonniers politiques en Côte d’Ivoire. La presse a fait réagir différentes personnalités du monde politique dont Michel Gbagbo qui a estimé qu’il y avait bel et bien des prisonniers politiques ».
SY/ls/APA