Abidjan - Les fonctionnaires et agents de l’Etat d’Odienné ont été sensibilisés jeudi sur le trop perçu sur salaire à travers une campagne initiée par la Direction générale du Trésor et de la Comptabilité publique (DGTCP), rapporte un communiqué transmis vendredi, à l’AIP.
Le Trésor ublic entend à travers cette campagne de sensibilisation, présenter aux différents acteurs, l’impact négatif des sommes indûment mandatées sur la trésorerie de l’État, d’une part et de sensibiliser les gestionnaires des ressources Humaines de l’Etat de la région du Kabadougou à la transmission diligente des informations relatives à la position ou à la situation administrative n’ouvrant pas droit à la rémunération,d’autre part.
« L’implication des gestionnaires des ressources humaines de l’Etat au terme de cette campagne permettra, nous osons l’espérer, de réduire de façon substantielle le nombre des mandatements indus. Cette réduction permettra, dans une certaine mesure, de maîtriser la masse salariale et partant, d’assainir le budget de l’Etat », a indiqué le chef de service recouvrement des créances issues des opérations de l’Etat à l’ACCC, indiqué Zékalo Suih Eman.
Les mandatements indus sont des salaires qui continuent d’être payés au profit des fonctionnaires et agents de l’Etat en position ou situation administrative n’ouvrant pas droit à la rémunération. Ces fonctionnaires sont, soit décédés, à la retraite, en position de détachement, en position de mise en disponibilité, d’abandon de poste ou bénéficiant d’indemnités résultant des fonctions qu’ils n’occupent plus.
Placée sous le thème « la problématique des mandatements indus : les trop perçus sur salaire des fonctionnaires et agents de l’État », la campagne a vu la participation des participants composés des autorités préfectorales, des directeurs régionaux, des directeurs départementaux, du directeur de l’hôpital, des secrétaires généraux des mairies, des commissaires de police, des proviseurs de lycées, des censeurs de lycées, les inspecteurs de l’enseignement primaire, les économes, les officiers d’Etat civil.
ena/fmo
Le Trésor ublic entend à travers cette campagne de sensibilisation, présenter aux différents acteurs, l’impact négatif des sommes indûment mandatées sur la trésorerie de l’État, d’une part et de sensibiliser les gestionnaires des ressources Humaines de l’Etat de la région du Kabadougou à la transmission diligente des informations relatives à la position ou à la situation administrative n’ouvrant pas droit à la rémunération,d’autre part.
« L’implication des gestionnaires des ressources humaines de l’Etat au terme de cette campagne permettra, nous osons l’espérer, de réduire de façon substantielle le nombre des mandatements indus. Cette réduction permettra, dans une certaine mesure, de maîtriser la masse salariale et partant, d’assainir le budget de l’Etat », a indiqué le chef de service recouvrement des créances issues des opérations de l’Etat à l’ACCC, indiqué Zékalo Suih Eman.
Les mandatements indus sont des salaires qui continuent d’être payés au profit des fonctionnaires et agents de l’Etat en position ou situation administrative n’ouvrant pas droit à la rémunération. Ces fonctionnaires sont, soit décédés, à la retraite, en position de détachement, en position de mise en disponibilité, d’abandon de poste ou bénéficiant d’indemnités résultant des fonctions qu’ils n’occupent plus.
Placée sous le thème « la problématique des mandatements indus : les trop perçus sur salaire des fonctionnaires et agents de l’État », la campagne a vu la participation des participants composés des autorités préfectorales, des directeurs régionaux, des directeurs départementaux, du directeur de l’hôpital, des secrétaires généraux des mairies, des commissaires de police, des proviseurs de lycées, des censeurs de lycées, les inspecteurs de l’enseignement primaire, les économes, les officiers d’Etat civil.
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