La ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, Kandia Kamissoko Camara, s’est réjouie, lundi, à Bouaké, de ce que de plus en plus de filles inscrites en sixième arrivent à achever leur cycle secondaire et à réussir au baccalauréat.
A l’occasion du lancement national des épreuves écrites du Baccalauréat, la ministre Kandia Camara a fait cette déclaration en affirmant être plus ou moins satisfaite des efforts fournis par le gouvernement ivoirien pour encourager la scolarisation de la petite fille.
Elle a souligné que le pays a « fait beaucoup de progrès » depuis 2011 en améliorant le taux de scolarisation des filles, même si l’on n’a pas encore atteint la parité entre filles et garçons. Grâce à la politique de l’école obligatoire, a-t-elle indiqué, la différence entre filles et garçons n’est pas énorme niveau du primaire mais, dans le préscolaire, les premières sont les plus nombreuses.
L’on note qu’une étude réalisée par l’UNICEF en collaboration avec le ministère de l’Education nationale et publiée en 2016, révèle que 52,6 % des filles sont exclues du système scolaire dès le plus jeune âge, contre 47,4% des garçons en Côte d’Ivoire. Par ailleurs, sur l’ensemble du pays, près de 43% de la jeunesse ivoirienne ne suit pas une scolarité normale avec de nettes disparités géographiques.
Pour encourager les filles à poursuivre leurs études, la ministre de l’Education entreprend depuis quelques années, des campagnes de sensibilisation contre les grossesses en milieu scolaire, l’une des causes de la déscolarisation des jeunes filles.
Le gouvernement ivoirien a rendu l’école obligatoire jusqu’à l’âge de 16 ans afin de donner la chance à tous les enfants du pays.
nbf/kam
A l’occasion du lancement national des épreuves écrites du Baccalauréat, la ministre Kandia Camara a fait cette déclaration en affirmant être plus ou moins satisfaite des efforts fournis par le gouvernement ivoirien pour encourager la scolarisation de la petite fille.
Elle a souligné que le pays a « fait beaucoup de progrès » depuis 2011 en améliorant le taux de scolarisation des filles, même si l’on n’a pas encore atteint la parité entre filles et garçons. Grâce à la politique de l’école obligatoire, a-t-elle indiqué, la différence entre filles et garçons n’est pas énorme niveau du primaire mais, dans le préscolaire, les premières sont les plus nombreuses.
L’on note qu’une étude réalisée par l’UNICEF en collaboration avec le ministère de l’Education nationale et publiée en 2016, révèle que 52,6 % des filles sont exclues du système scolaire dès le plus jeune âge, contre 47,4% des garçons en Côte d’Ivoire. Par ailleurs, sur l’ensemble du pays, près de 43% de la jeunesse ivoirienne ne suit pas une scolarité normale avec de nettes disparités géographiques.
Pour encourager les filles à poursuivre leurs études, la ministre de l’Education entreprend depuis quelques années, des campagnes de sensibilisation contre les grossesses en milieu scolaire, l’une des causes de la déscolarisation des jeunes filles.
Le gouvernement ivoirien a rendu l’école obligatoire jusqu’à l’âge de 16 ans afin de donner la chance à tous les enfants du pays.
nbf/kam