Abidjan - Le président du Syndicat national des pompes funèbres de Côte d'Ivoire (SYNAPOFU-CI), Kouamé Kra Boniface s'est indigné de la décision de cessation d'activités émise par le district autonome d'Abidjan à leur encontre, lors d'un entretien avec l'AIP.
Selon une note de service de la police nationale signée par le préfet de police, Yao Kouamé, « en dehors des circonscriptions dans lesquelles n’existent que les structures privées, les pompes funèbres d’IVOSEP sont les seules commises à cette tâche dans le district autonome d’Abidjan », a fait savoir le président du SYNAPOFU-CI.
Pour Kouamé Kra, cette décision dénote une injustice, "dans un pays qui prône le libéralisme économique". Il estime que sa mise en oeuvre entraînera la fermeture de certaines entreprises de pompes funèbres dans un secteur qui offre beaucoup d’emplois à la jeunesse.
Le président de SYNAPOFU-CI déplore « le harcèlement subi par les structures concurrentes à Ivoire Sepulture (IVOSEP)». Son organisation syndicale regroupe plus de 200 entreprises de pompes funèbres autorisées par l’autorité à exercer dans le strict respect des lois régissant leur domaine d’activité, a-t-il indiqué.
Depuis le 19 juin, le district autonome d’Abidjan a adressé un note à plusieurs pompes funèbres privées, notamment à l’entreprise Pompes funèbres générales d’Afrique (PFGA), à la Société ivoirienne de pompes funèbres (SIPOFU) et à d’autres structures privées pour que celles-ci ferment dans un délai de 10 jours, a-t-on appris.
(AIP)
tg/nmfa/cmas
Selon une note de service de la police nationale signée par le préfet de police, Yao Kouamé, « en dehors des circonscriptions dans lesquelles n’existent que les structures privées, les pompes funèbres d’IVOSEP sont les seules commises à cette tâche dans le district autonome d’Abidjan », a fait savoir le président du SYNAPOFU-CI.
Pour Kouamé Kra, cette décision dénote une injustice, "dans un pays qui prône le libéralisme économique". Il estime que sa mise en oeuvre entraînera la fermeture de certaines entreprises de pompes funèbres dans un secteur qui offre beaucoup d’emplois à la jeunesse.
Le président de SYNAPOFU-CI déplore « le harcèlement subi par les structures concurrentes à Ivoire Sepulture (IVOSEP)». Son organisation syndicale regroupe plus de 200 entreprises de pompes funèbres autorisées par l’autorité à exercer dans le strict respect des lois régissant leur domaine d’activité, a-t-il indiqué.
Depuis le 19 juin, le district autonome d’Abidjan a adressé un note à plusieurs pompes funèbres privées, notamment à l’entreprise Pompes funèbres générales d’Afrique (PFGA), à la Société ivoirienne de pompes funèbres (SIPOFU) et à d’autres structures privées pour que celles-ci ferment dans un délai de 10 jours, a-t-on appris.
(AIP)
tg/nmfa/cmas