L’on ne peut parler du noble art ivoirien, voire africain, sans évoquer le nom de Séa Robinson. Car cet homme a écrit une des plus belles pages de la boxe dans la période de 1965 à 1979, avant de ranger les gants. Ce parcours remarquable mérite d’être raconté afin que la nouvelle génération s’en inspire. Rencontre.
Notre équipe de reportage a retrouvé Séa Robinson, jeudi dernier, dans la capitale ivoirienne. À l’âge de 72 ans, il n’a, certes, plus sa fraîcheur physique d’antan mais reste bien lucide et sage. Dans la discrétion, il vit sa retraite dans son appartement (4 pièces) de la cité Sogefiha de Williamsville que Félix Houphouët-Boigny, le père de la nation ivoirienne, lui a offert.
« Sans tambour ni trompette, je vis mes vieux jours. Je suis... suite de l'article sur Fraternité Matin
Notre équipe de reportage a retrouvé Séa Robinson, jeudi dernier, dans la capitale ivoirienne. À l’âge de 72 ans, il n’a, certes, plus sa fraîcheur physique d’antan mais reste bien lucide et sage. Dans la discrétion, il vit sa retraite dans son appartement (4 pièces) de la cité Sogefiha de Williamsville que Félix Houphouët-Boigny, le père de la nation ivoirienne, lui a offert.
« Sans tambour ni trompette, je vis mes vieux jours. Je suis... suite de l'article sur Fraternité Matin