Abidjan, 11 juillet– La Haute autorité pour la bonne gouvernance (HABG) a entamé, mardi, à son siège d’Abidjan-Cocody, une série de rencontres avec huit groupes de travail pour l’élaboration de projets de textes réglementaires en vue d’accroitre l’efficience de son action de lutte contre la corruption et les infractions assimilées.
Selon le secrétaire général de cette Institution indépendante, Nanan Yves Yao Kouamé, ces réunions préparatoires, qui s’achèvent vendredi, visent à doter la Côte d’Ivoire de lois, décrets, arrêtés, décisions et circulaires pour « doter le pays d’un environnement des affaires favorable aux investissements » par le renforcement des dispositions en vigueur.
Les participants à ces séances de travail plancheront sur le recrutement, la rémunération, la formation et la gestion des carrières des agents publics, le code de conduite des agents publics, la passation des marchés publics, la gestion des finances publiques, le financement des partis politiques et des campagnes électorales, la transparence dans les relations entre l’Etat et les populations ou encore la transparence dans les activités du secteur privé et la participation de la société civile, des partis politiques et des médias à la prévention de la corruption.
Cette activité fait suite aux recommandations d’un séminaire national visant à identifier les mesures de prévention de la corruption et des infractions assimilées tenu du 1er au 03 juin à Yamoussoukro. Elle devrait permettre d’aboutir à la proposition de « mesures concrètes » en vue de proposition de projets de lois au gouvernement.
La Côte d’Ivoire s’est dotée, en 2013, d’une ordonnance définissant la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la corruption et les infractions assimilées et chargé la Haute autorité pour la bonne gouvernance (HABG), dirigée par l’ex-Premier ministre Seydou Diarra, d’en assurer la mise en œuvre.
Selon le secrétaire général de cette Institution indépendante, Nanan Yves Yao Kouamé, ces réunions préparatoires, qui s’achèvent vendredi, visent à doter la Côte d’Ivoire de lois, décrets, arrêtés, décisions et circulaires pour « doter le pays d’un environnement des affaires favorable aux investissements » par le renforcement des dispositions en vigueur.
Les participants à ces séances de travail plancheront sur le recrutement, la rémunération, la formation et la gestion des carrières des agents publics, le code de conduite des agents publics, la passation des marchés publics, la gestion des finances publiques, le financement des partis politiques et des campagnes électorales, la transparence dans les relations entre l’Etat et les populations ou encore la transparence dans les activités du secteur privé et la participation de la société civile, des partis politiques et des médias à la prévention de la corruption.
Cette activité fait suite aux recommandations d’un séminaire national visant à identifier les mesures de prévention de la corruption et des infractions assimilées tenu du 1er au 03 juin à Yamoussoukro. Elle devrait permettre d’aboutir à la proposition de « mesures concrètes » en vue de proposition de projets de lois au gouvernement.
La Côte d’Ivoire s’est dotée, en 2013, d’une ordonnance définissant la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la corruption et les infractions assimilées et chargé la Haute autorité pour la bonne gouvernance (HABG), dirigée par l’ex-Premier ministre Seydou Diarra, d’en assurer la mise en œuvre.