Le Conseil d’administration de la Banque africaine de développement (BAD) a approuvé un prêt du Fonds africain de développement (FAD) de 36,232 millions d’Unités de compte (UC), soit 28,9 milliards de Francs CFA en faveur de la Côte d’Ivoire, afin de permettre au pays de financer son Programme d’appui à la gouvernance économique et à la croissance (PAGEC).
Selon un communiqué de presse de la BAD publié lundi, le programme vise à renforcer l’efficacité et la transparence dans la gestion des finances publiques et à consolider la tendance positive des indicateurs de fragilité.
Et ce, tout en maintenant une croissance forte, soutenue et inclusive. Les deux composantes opérationnelles du programme sont l’appui à l’efficacité et à la transparence de la gestion des finances publiques, et l’appui à la diversification des sources de croissance.
Au cours des cinq dernières années, la Côte d’Ivoire a réalisé des performances économiques remarquables marquées par un taux de croissance annuel moyen de plus de 9 %. En outre, des progrès importants ont été enregistrés dans l’amélioration de l’environnement des affaires, comme l’illustre, au demeurant, la progression constante du rang du pays dans le classement « Doing Business » de la Banque mondiale.
Cependant, des défis majeurs doivent être relevés pour permettre au pays d’atteindre ses objectifs de développement économiques et sociaux.
Il s’agit, notamment, de parvenir à une répartition plus équitable des sources de la croissance afin de réduire sensiblement l’incidence de la pauvreté qui reste encore très élevée dans le pays, de renforcer la gouvernance du secteur de l’énergie et du café-cacao, de développer des chaînes de valeur pour améliorer le niveau de transformation des produits locaux, d’assainir le secteur bancaire public et de réformer le foncier rural.
cmas
Selon un communiqué de presse de la BAD publié lundi, le programme vise à renforcer l’efficacité et la transparence dans la gestion des finances publiques et à consolider la tendance positive des indicateurs de fragilité.
Et ce, tout en maintenant une croissance forte, soutenue et inclusive. Les deux composantes opérationnelles du programme sont l’appui à l’efficacité et à la transparence de la gestion des finances publiques, et l’appui à la diversification des sources de croissance.
Au cours des cinq dernières années, la Côte d’Ivoire a réalisé des performances économiques remarquables marquées par un taux de croissance annuel moyen de plus de 9 %. En outre, des progrès importants ont été enregistrés dans l’amélioration de l’environnement des affaires, comme l’illustre, au demeurant, la progression constante du rang du pays dans le classement « Doing Business » de la Banque mondiale.
Cependant, des défis majeurs doivent être relevés pour permettre au pays d’atteindre ses objectifs de développement économiques et sociaux.
Il s’agit, notamment, de parvenir à une répartition plus équitable des sources de la croissance afin de réduire sensiblement l’incidence de la pauvreté qui reste encore très élevée dans le pays, de renforcer la gouvernance du secteur de l’énergie et du café-cacao, de développer des chaînes de valeur pour améliorer le niveau de transformation des produits locaux, d’assainir le secteur bancaire public et de réformer le foncier rural.
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