La plateforme commune de revendications élaborée, le 17 juin 2017, à l’intention des autorités, par les agents des eaux et forêts à l’issue de l’Assemblée générale tenue par les syndicats Cnatef (Coalition nationale des agents techniques des eaux et forêts) et Synaparci (Syndicats des agents des parcs et réserves de Côte d’Ivoire), n’a pas eu de retour satisfaisant.
Les agents techniques des eaux et forêts ont décidé d’interpeller le gouvernement et le président de la République sur l’urgence de l’amélioration de leurs conditions de vie et de travail. Ainsi, un préavis de grève a été adressé au ministère de la fonction publique et de la modernisation de l’administration, le 7 juillet 2017, indiquant un arrêt de travail de 72 heures, du mercredi 19 au vendredi 21 juillet.
L’information a été livrée par le Secrétaire général (Sg) du Synaparci, Gnoblé Koré Alain, le samedi 15 juillet 2017, lors d’un point-presse, à Yopougon-Maroc. Les revendications portent sur, entre autres, l’augmentation des effectifs, l’harmonisation du taux de bail, les stocks d’arriérés des indemnités. Selon Gnoblé Koré, les discussions avec les autorités et les courriers adressés n’ont pu satisfaire un seul des dix points de la plateforme des revendications, jusqu’à ce jour.
Les agents techniques des eaux et forêts ont décidé d’interpeller le gouvernement et le président de la République sur l’urgence de l’amélioration de leurs conditions de vie et de travail. Ainsi, un préavis de grève a été adressé au ministère de la fonction publique et de la modernisation de l’administration, le 7 juillet 2017, indiquant un arrêt de travail de 72 heures, du mercredi 19 au vendredi 21 juillet.
L’information a été livrée par le Secrétaire général (Sg) du Synaparci, Gnoblé Koré Alain, le samedi 15 juillet 2017, lors d’un point-presse, à Yopougon-Maroc. Les revendications portent sur, entre autres, l’augmentation des effectifs, l’harmonisation du taux de bail, les stocks d’arriérés des indemnités. Selon Gnoblé Koré, les discussions avec les autorités et les courriers adressés n’ont pu satisfaire un seul des dix points de la plateforme des revendications, jusqu’à ce jour.