Bingerville - La Commission nationale des droits de l’homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI), réunie mardi au jardin botanique de Bingerville (banlieue Est d’Abidjan) avec des organisations de la société civile, a procédé au lancement d’une «plateforme de droits de l’homme et environnement», en vue de traiter les questions d’ordre environnemental.
La plateforme regroupe en son sein des organisations étatiques et non gouvernementales du domaine. Elle a pour objectifs, selon le vice-président de la CNDHCI, Traoré Wodjo, de contribuer à la protection et à la mise en œuvre des conventions librement ratifiées par la Côte d’Ivoire, de créer un cadre national formel d’échanges entre les acteurs sur la situation et les enjeux environnementaux.
Mais aussi, de définir et mettre en œuvre des stratégies d’actions communes des acteurs intervenant dans le secteur en vue de renforcer son système national de protection, de renforcer les capacités des acteurs de la société civile et des institutions nationales pour soutenir le système national de protection de l’environnement et de faciliter les plaidoyers pour la protection de l’environnement auprès des autorités à divers niveaux.
« Le pays est en danger mais pas en retard », a déclaré M. Traoré, appelant à la protection des sites environnementaux tels que le jardin botanique de Bingerville pour le bien-être de la population. Une protection qui passe, d’après lui, par la « vulgarisation, l’information » autour de ces espaces en vue d’inciter les ivoiriens tout comme les étrangers vivant en Côte d’Ivoire et en dehors, à les visiter.
Le représentant de la Société civile, Aubin Ange Baimey, également directeur de programme des jeunes volontaires pour l’environnement (JVE) a salué cette initiative de la CNDHCI et s’est engagé à apporter sa contribution afin de préserver l’environnement du territoire national de toute dégradation.
La plateforme se réunira chaque mois en fonction de l’actualité du moment ou de l’urgence des préoccupations environnementales, souligne-t-on.
(AIP)
sn/fmo
La plateforme regroupe en son sein des organisations étatiques et non gouvernementales du domaine. Elle a pour objectifs, selon le vice-président de la CNDHCI, Traoré Wodjo, de contribuer à la protection et à la mise en œuvre des conventions librement ratifiées par la Côte d’Ivoire, de créer un cadre national formel d’échanges entre les acteurs sur la situation et les enjeux environnementaux.
Mais aussi, de définir et mettre en œuvre des stratégies d’actions communes des acteurs intervenant dans le secteur en vue de renforcer son système national de protection, de renforcer les capacités des acteurs de la société civile et des institutions nationales pour soutenir le système national de protection de l’environnement et de faciliter les plaidoyers pour la protection de l’environnement auprès des autorités à divers niveaux.
« Le pays est en danger mais pas en retard », a déclaré M. Traoré, appelant à la protection des sites environnementaux tels que le jardin botanique de Bingerville pour le bien-être de la population. Une protection qui passe, d’après lui, par la « vulgarisation, l’information » autour de ces espaces en vue d’inciter les ivoiriens tout comme les étrangers vivant en Côte d’Ivoire et en dehors, à les visiter.
Le représentant de la Société civile, Aubin Ange Baimey, également directeur de programme des jeunes volontaires pour l’environnement (JVE) a salué cette initiative de la CNDHCI et s’est engagé à apporter sa contribution afin de préserver l’environnement du territoire national de toute dégradation.
La plateforme se réunira chaque mois en fonction de l’actualité du moment ou de l’urgence des préoccupations environnementales, souligne-t-on.
(AIP)
sn/fmo