Si la Côte d’Ivoire continue d’accumuler les satisfecit dans presque tous les domaines qui déterminent la bonne marche d’une économie, sur le plan social, l’État doit faire plus et plus vite.
La locomotive ivoirienne va connaître en 2017 un nouveau ralentissement, soit une croissance de 6,9 % contre 7,5 % en 2016 et 8,9 % en 2015, si l’on en croit le Fonds monétaire international (FMI). La crise cacaoyère, les retards de paiement du secteur public, une conjoncture très moyenne dans le BTP et le secteur manufacturier expliquent ce fléchissement.
Malgré tout, la Côte d’Ivoire continue d’accumuler les satisfecit dans presque tous les domaines qui déterminent la bonne santé d’une économie. Le climat des affaires amélioré, les performances macroéconomiques... suite de l'article sur Jeune Afrique
La locomotive ivoirienne va connaître en 2017 un nouveau ralentissement, soit une croissance de 6,9 % contre 7,5 % en 2016 et 8,9 % en 2015, si l’on en croit le Fonds monétaire international (FMI). La crise cacaoyère, les retards de paiement du secteur public, une conjoncture très moyenne dans le BTP et le secteur manufacturier expliquent ce fléchissement.
Malgré tout, la Côte d’Ivoire continue d’accumuler les satisfecit dans presque tous les domaines qui déterminent la bonne santé d’une économie. Le climat des affaires amélioré, les performances macroéconomiques... suite de l'article sur Jeune Afrique