L'État ivoirien accorde de nouveaux permis d’exploration, quatre gisements sont exploités, un cinquième le sera début 2018 : la filière est en pleine effervescence.
Restée pendant longtemps inexplorée, contrairement à celles des voisins ghanéens, maliens et burkinabè, la filière aurifère ivoirienne attise désormais l’intérêt de majors et de juniors du monde entier. Pour exploiter le filon, le gouvernement a élaboré en 2013 un nouveau code minier (adopté en mars 2014), que l’ensemble des professionnels estiment attractif.
Le cadastre minier continue d’être mis à jour et l’État a accéléré la délivrance de nouveaux permis d’exploration et de recherche. Plus de 200, dont les trois quarts pour l’or, sont en cours de validité, détenus par des... suite de l'article sur Jeune Afrique
Restée pendant longtemps inexplorée, contrairement à celles des voisins ghanéens, maliens et burkinabè, la filière aurifère ivoirienne attise désormais l’intérêt de majors et de juniors du monde entier. Pour exploiter le filon, le gouvernement a élaboré en 2013 un nouveau code minier (adopté en mars 2014), que l’ensemble des professionnels estiment attractif.
Le cadastre minier continue d’être mis à jour et l’État a accéléré la délivrance de nouveaux permis d’exploration et de recherche. Plus de 200, dont les trois quarts pour l’or, sont en cours de validité, détenus par des... suite de l'article sur Jeune Afrique