Le député des circonscriptions administratives de Tioroniaradougou et Dassoungboho, dans le Nord de la Côte d’Ivoire, l’honorable Coulibaly Nibé Kolo Issa dit Issaplé et son épouse Mme Coulibaly, marraine des festivités marquant la première édition de la célébration de la journée de la femme dans ces localités en marge à la journée mondiale, ont fait des dons aux mamans. Ces présents étaient composés de vivres et non vivres. C’était les 21 et 22 juillet 2017 en présence des sous-préfets de Tioroniaradougou Gauze Yve Raphael et ces 42 chefs de villages et du sous-préfet de Dassoungboho Coulibaly Mamadou et ces 21 chefs de villages, des cadres et leurs épouses dont à leurs têtes le président du conseil d’administration (PCA) des sociétés EKDS et COIC Koné Daouda Soupkafolo . Ainsi aux sons des danses du terroir dont le balafon, ces femmes du milieu rural ont été publiquement honorées magnifiées, félicitées et encouragées par le député Issaplé et Mme Coulibaly la marraine. Elle a encouragé ses sœurs à s’intéresser aux activités génératrices de revenus(AGR). La marraine les a également assurées de sa disponibilité à les accompagner dans leurs tâches quotidiennes. Mme Coulibaly, accompagnée de son époux, a remis des barriques, bassines et des cuvettes aux 21 associations féminines des villages de Dassoungboho. Puis aux 42 associations féminines de Tioroniaradougou des fourneaux modernes, des cuvettes et ustensiles de cuisines ainsi que des pages de dernière qualité.
Outre l’aspect festif cette première édition de la célébration de la mère a été ponctuée d’une conférence portée sur l’entretien de l’environnement pour rester en bonne santé et surtout la ménopause ou l’absence des menstrues chez la femme qui n’est pas une fatalité. Des thèmes animés par Traoré Ibrahima infirmier d’Etat au centre de santé urbain de Tioroniaradougou. « La ménopause n’est pas une fatalité, nous devons la considérer comme une continuité de la vie sexuelle car la femme quel que soit son âge après l’arrêt de menstrues continue de fonctionner comme une jeune fille de 15 ans. La femme qui est dans la ménopause ne peut plus faire d’enfants, sinon elle peut faire correctement les rapports sexuels sans inconvénients … » a soutenu l’infirmier. A nos papas ne prenez pas cela comme un prétexte pour abonner nos mamans et aller marier une jeune fille et à nos mamans ne prenez pas aussi cela comme un prétexte pour abandonner seuls nos papas a renchéri l’infirmier Traoré. Un exposé qui a été salué à sa juste valeur par les participants. Soro Zié un notable. « Nous disons merci au député et à son épouse d’avoir levé un coin de voile sur ce sujet tabou en pays senoufo et qui est à la base de la déstabilisation de couples, de foyers, de familles… et qui tue à petit feu dans nos villages. J’exhorte les 42 chefs de villages de Tioroniaradougou et les 21 chefs de villages de Dassounbgoho à relayer les enseignements et à poursuivre la sensibilisation auprès de leurs administrés sur l’environnement et la ménopause ». Les deux sous préfectures ont encouragé les femmes rurales dans les activités agricoles tout en les rassurant que l’administration sera toujours à leurs côtés .
B.T.
(Correspondance particulière)
Outre l’aspect festif cette première édition de la célébration de la mère a été ponctuée d’une conférence portée sur l’entretien de l’environnement pour rester en bonne santé et surtout la ménopause ou l’absence des menstrues chez la femme qui n’est pas une fatalité. Des thèmes animés par Traoré Ibrahima infirmier d’Etat au centre de santé urbain de Tioroniaradougou. « La ménopause n’est pas une fatalité, nous devons la considérer comme une continuité de la vie sexuelle car la femme quel que soit son âge après l’arrêt de menstrues continue de fonctionner comme une jeune fille de 15 ans. La femme qui est dans la ménopause ne peut plus faire d’enfants, sinon elle peut faire correctement les rapports sexuels sans inconvénients … » a soutenu l’infirmier. A nos papas ne prenez pas cela comme un prétexte pour abonner nos mamans et aller marier une jeune fille et à nos mamans ne prenez pas aussi cela comme un prétexte pour abandonner seuls nos papas a renchéri l’infirmier Traoré. Un exposé qui a été salué à sa juste valeur par les participants. Soro Zié un notable. « Nous disons merci au député et à son épouse d’avoir levé un coin de voile sur ce sujet tabou en pays senoufo et qui est à la base de la déstabilisation de couples, de foyers, de familles… et qui tue à petit feu dans nos villages. J’exhorte les 42 chefs de villages de Tioroniaradougou et les 21 chefs de villages de Dassounbgoho à relayer les enseignements et à poursuivre la sensibilisation auprès de leurs administrés sur l’environnement et la ménopause ». Les deux sous préfectures ont encouragé les femmes rurales dans les activités agricoles tout en les rassurant que l’administration sera toujours à leurs côtés .
B.T.
(Correspondance particulière)