Abidjan - Une équipe dépêchée par l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation de l’Agriculture (FAO) en Côte d’Ivoire à l’effet de l’aider à atteindre ses engagements dans le cadre des objectifs de développement durable (ODD), a rendu mercredi, au cabinet du ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement durable à Abidjan, les conclusions d’un atelier ouvert plus tôt, lundi, sur le thème « Evaluation des indicateurs pour la mise en œuvre des Objectifs de Développement Durable ».
La ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement durable, Anne Désirée Ouloto a expliqué que la Côte d’Ivoire doit pouvoir atteindre ces engagements pour un monde meilleur, à partir de 17 ODD auxquels elle a adhéré à l’instar des autres Nations. Elle s’est félicitée de l’accompagnement de la FAO à l’effet de permettre à la Côte d’Ivoire de définir ses indicateurs dans le cadre des ODD.
Anne ouloto a indiqué qu’à partir de cette mission des points focaux seront désignés dans les ministères techniques de façon à travailler avec la FAO pour aider dans le calcul des différents indicateurs pour, à terme, permettre d’évaluer le processus.
« Nous avons des objectifs à atteindre, par exemple quand on parle de lutte contre la pauvreté ou contre la faim, il faut à un moment donné pouvoir évaluer ou alors pourvoir suivre et dire comment nous réussissons à luter contre ces fléaux, est-ce que nos approches sont bonnes, est-ce que nous avons les résultats qui nous permettent de mesurer le niveau de pauvreté ou de famine et de dire qu’en réalité la pauvreté recule en Côte d’Ivoire », a expliqué Anne Ouloto.
Le représentant par intérim du représentant de la FAO en Côte d’Ivoire, Pascal Sanginga, a expliqué que l’organisation a été désignée en tant qu’entité responsable des 21 indicateurs de développement durable. « Notre apport, c’est d’accompagner les pays comme la Côte d’Ivoire pour la mise en place d’un système de suivi de ces indicateurs mais aussi pour leur réalisation », a-t-il déclaré.
Pour le représentant permanent de la Côte d’Ivoire auprès de la FAO, du Fonds international pour le développement de l’agriculture (FIDA) et du Programme alimentaire mondial (PAM), l’ambassadeur Seydou Cissé, d’autres étapes suivront à l’issue de cet atelier qui a rendu ses travaux. Il a rappelé que dans le cadre spécifique des ODD, le directeur général de la FAO a créé un bureau pour aider les Etats membres à renforcer leurs capacités dans la mise en œuvre de ces ODD.
(AIP)
gak/fmo
La ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement durable, Anne Désirée Ouloto a expliqué que la Côte d’Ivoire doit pouvoir atteindre ces engagements pour un monde meilleur, à partir de 17 ODD auxquels elle a adhéré à l’instar des autres Nations. Elle s’est félicitée de l’accompagnement de la FAO à l’effet de permettre à la Côte d’Ivoire de définir ses indicateurs dans le cadre des ODD.
Anne ouloto a indiqué qu’à partir de cette mission des points focaux seront désignés dans les ministères techniques de façon à travailler avec la FAO pour aider dans le calcul des différents indicateurs pour, à terme, permettre d’évaluer le processus.
« Nous avons des objectifs à atteindre, par exemple quand on parle de lutte contre la pauvreté ou contre la faim, il faut à un moment donné pouvoir évaluer ou alors pourvoir suivre et dire comment nous réussissons à luter contre ces fléaux, est-ce que nos approches sont bonnes, est-ce que nous avons les résultats qui nous permettent de mesurer le niveau de pauvreté ou de famine et de dire qu’en réalité la pauvreté recule en Côte d’Ivoire », a expliqué Anne Ouloto.
Le représentant par intérim du représentant de la FAO en Côte d’Ivoire, Pascal Sanginga, a expliqué que l’organisation a été désignée en tant qu’entité responsable des 21 indicateurs de développement durable. « Notre apport, c’est d’accompagner les pays comme la Côte d’Ivoire pour la mise en place d’un système de suivi de ces indicateurs mais aussi pour leur réalisation », a-t-il déclaré.
Pour le représentant permanent de la Côte d’Ivoire auprès de la FAO, du Fonds international pour le développement de l’agriculture (FIDA) et du Programme alimentaire mondial (PAM), l’ambassadeur Seydou Cissé, d’autres étapes suivront à l’issue de cet atelier qui a rendu ses travaux. Il a rappelé que dans le cadre spécifique des ODD, le directeur général de la FAO a créé un bureau pour aider les Etats membres à renforcer leurs capacités dans la mise en œuvre de ces ODD.
(AIP)
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