Abidjan - Huit trafiquants majeurs ont été arrêtés mercredi avec près de 3000 kg d’écailles de pangolins par les agents de l’Unité de lutte contre la criminalité transnationale (UCT) organisée, indique une note d’information transmise à l’AIP.
Alertés, des unités de l’UCT se sont dépêchées sur les lieux de la transaction à Cocody-les deux plateaux. Arrivées, elles ont découvert sur place des individus possédant illicitement près de trois tonnes d’écailles de pangolins sortis des forêts ivoiriennes et d’autres pays d’Afrique de l’Ouest, notamment la Guinée Conakry et le Liberia, révèle la note.
Selon les experts, les trois tonnes d’écailles de pangolins saisies ont une valeur marchande estimée à plusieurs dizaines de millions de francs CFA. Ce coup de filet est la résultante d’une synergie d’action née entre le ministère des Eaux et forêts, l’UCT et le Projet EAGLE-Côte d’Ivoire dans la lutte contre le trafic international d’espèces protégées.
Selon l’un des capitaines qui ont conduit l’opération, les trafiquants seront entendus par les éléments de l’UCT dans la foulée de leur garde à vue de 48 heures comme l’exige la loi, avant d’être déférés devant le parquet d’Abidjan pour répondre de leurs actes.
Bsb/kp
Alertés, des unités de l’UCT se sont dépêchées sur les lieux de la transaction à Cocody-les deux plateaux. Arrivées, elles ont découvert sur place des individus possédant illicitement près de trois tonnes d’écailles de pangolins sortis des forêts ivoiriennes et d’autres pays d’Afrique de l’Ouest, notamment la Guinée Conakry et le Liberia, révèle la note.
Selon les experts, les trois tonnes d’écailles de pangolins saisies ont une valeur marchande estimée à plusieurs dizaines de millions de francs CFA. Ce coup de filet est la résultante d’une synergie d’action née entre le ministère des Eaux et forêts, l’UCT et le Projet EAGLE-Côte d’Ivoire dans la lutte contre le trafic international d’espèces protégées.
Selon l’un des capitaines qui ont conduit l’opération, les trafiquants seront entendus par les éléments de l’UCT dans la foulée de leur garde à vue de 48 heures comme l’exige la loi, avant d’être déférés devant le parquet d’Abidjan pour répondre de leurs actes.
Bsb/kp