A l’issue de la rencontre à Bruxelles les 19 et 20 juillet 2017 des représentants des pays membres importateurs et exportateurs du Conseil International du Cacao, dans le cadre d’une plateforme multipartite sur l’évolution du marché, ceux-ci ont recommandé une révision de l’accord international sur le cacao de 2010.
Cette recommandation, issue des discussions les 17 et 18 juillet 2017 du Groupe de Travail sur la révision de l’Accord International sur le Cacao de 2010, sera soumise au Comité administratif et financier en vue d’une décision finale du Conseil International du Cacao lors de ses réunions de Septembre 2017.
L’objectif de la rencontre de Bruxelles étant de discuter des évolutions actuelles du marché du cacao, tout particulièrement de la question de la chute des prix, son impact négatif sur les revenus des cultivateurs et les pays producteurs, et les mesures pour répondre à ces enjeux, Les Représentants des Gouvernement ont demandé à toutes les parties de mettre en place un nouveau cadre international de coopération et des actions de court et de long terme visant à assurer des moyens de subsistance durables aux cultivateurs de cacao et la durabilité de la chaîne de valeur cacaoyère, en accord avec les objectifs de développement durable des Nations Unies.
Sur la problématique liée à une production de cacao durable, la plateforme a reconnu le besoin d’une meilleure coordination des politiques nationales de production et des programmes dans les pays producteurs de cacao pour assurer un approvisionnement qui aille de paire avec les projections de demande mondiale.
La diversification des revenus a été préconisée. Ce afin de mitiger les effets néfastes des fluctuations des prix du cacao et augmenter la résilience des agriculteurs et leurs moyens de subsistance.
Sur la modernisation du secteur cacaoyer, Toutes les parties prenantes ont été invitées à investir dans la professionnalisation et l’autonomisation des cultivateurs de cacao. La plateforme a encouragé toutes les parties prenantes et particulièrement les gouvernements de pays producteurs de cacao à investir dans des politiques, des institutions et des infrastructures aidant. Concernant la Promotion de la consommation de produits cacaoyers, il est recommandé d’Elargir la consommation de cacao et de produits chocolatiers auprès de pays de marchés émergents. Les pays producteurs sont encouragés à développer et implanter des politiques visant à booster la consommation locale de cacao. A cet égard, il a été relevé l’importance de contribuer à la recherche.
La plateforme a réclamé plus de transparence dans les opérations du secteur cacaoyer, en particulier une coopération plus étroite entre les acteurs du marché pour permettre un meilleur accès à l’information. L’Accent doit être également mis sur la reconnaissance de l’importance de l’ICCO et le rôle central qu’elle joue en fournissant un cadre idéal de discussion pour les parties prenantes de la chaîne de valeur. Les pays producteurs à savoir la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Cameroun et les autres ont pris l’engagement de se retrouver dans un futur proche pour poursuivre ces travaux.
Elisée B.
Cette recommandation, issue des discussions les 17 et 18 juillet 2017 du Groupe de Travail sur la révision de l’Accord International sur le Cacao de 2010, sera soumise au Comité administratif et financier en vue d’une décision finale du Conseil International du Cacao lors de ses réunions de Septembre 2017.
L’objectif de la rencontre de Bruxelles étant de discuter des évolutions actuelles du marché du cacao, tout particulièrement de la question de la chute des prix, son impact négatif sur les revenus des cultivateurs et les pays producteurs, et les mesures pour répondre à ces enjeux, Les Représentants des Gouvernement ont demandé à toutes les parties de mettre en place un nouveau cadre international de coopération et des actions de court et de long terme visant à assurer des moyens de subsistance durables aux cultivateurs de cacao et la durabilité de la chaîne de valeur cacaoyère, en accord avec les objectifs de développement durable des Nations Unies.
Sur la problématique liée à une production de cacao durable, la plateforme a reconnu le besoin d’une meilleure coordination des politiques nationales de production et des programmes dans les pays producteurs de cacao pour assurer un approvisionnement qui aille de paire avec les projections de demande mondiale.
La diversification des revenus a été préconisée. Ce afin de mitiger les effets néfastes des fluctuations des prix du cacao et augmenter la résilience des agriculteurs et leurs moyens de subsistance.
Sur la modernisation du secteur cacaoyer, Toutes les parties prenantes ont été invitées à investir dans la professionnalisation et l’autonomisation des cultivateurs de cacao. La plateforme a encouragé toutes les parties prenantes et particulièrement les gouvernements de pays producteurs de cacao à investir dans des politiques, des institutions et des infrastructures aidant. Concernant la Promotion de la consommation de produits cacaoyers, il est recommandé d’Elargir la consommation de cacao et de produits chocolatiers auprès de pays de marchés émergents. Les pays producteurs sont encouragés à développer et implanter des politiques visant à booster la consommation locale de cacao. A cet égard, il a été relevé l’importance de contribuer à la recherche.
La plateforme a réclamé plus de transparence dans les opérations du secteur cacaoyer, en particulier une coopération plus étroite entre les acteurs du marché pour permettre un meilleur accès à l’information. L’Accent doit être également mis sur la reconnaissance de l’importance de l’ICCO et le rôle central qu’elle joue en fournissant un cadre idéal de discussion pour les parties prenantes de la chaîne de valeur. Les pays producteurs à savoir la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Cameroun et les autres ont pris l’engagement de se retrouver dans un futur proche pour poursuivre ces travaux.
Elisée B.
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