Le cercle des défenseurs des droits de l’homme en Côte d’Ivoire s’agrandit. Le Mouvement Ivoirien pour le renforcement et la protection des droits humains (MIRPDH) veut jouer sa partition dans la défense des droits de l’homme en Côte d’Ivoire.
« Dans le cadre des activités de l’ONG Action pour la Défense des Droits des Eleveurs et Cultivateurs (ADDEC), structure dont je suis le président, j’ai sillonné diverses régions du pays. Malheureusement, à certains endroits, j’ai eu à constater des cas de violations des droits de l’homme. Il s’agit entre autres de la pratique des mariages forcés et précoces, des arrestations arbitraires de bouviers, éleveurs et cultivateurs. Ce sont ces quelques cas de violations de droits de l’homme qui ont motivé en partie la mise en place du MIRPDH. Mais cette Ong défend les violations de tous les droits humains sous toutes ses formes », a fait savoir Néou Lassina, président du MIRPDH, au cours d’une rencontre de sensibilisation au respect des droits de l’homme, organisée le 29 Juillet dernier au siège social du MIRPDH à Korhogo, quartier Soba. Le président du MIRPDH, tout en saluant et félicitant les structures sœurs œuvrant déjà dans la défense des droits de l’homme en Côte d’Ivoire, souhaite leur collaboration, en vue de bénéficier de leurs riches et longues expériences professionnelles en matière de défense des droits de l’homme. Au dire du premier responsable du MIRPDH, son mouvement créé en 2016 (récépissé de déclaration d’association N°717 / MEMIS / DGAT / DAG /SDVA du 07 Novembre 2016), revendique près d’une cinquantaine de membres.
Nea
« Dans le cadre des activités de l’ONG Action pour la Défense des Droits des Eleveurs et Cultivateurs (ADDEC), structure dont je suis le président, j’ai sillonné diverses régions du pays. Malheureusement, à certains endroits, j’ai eu à constater des cas de violations des droits de l’homme. Il s’agit entre autres de la pratique des mariages forcés et précoces, des arrestations arbitraires de bouviers, éleveurs et cultivateurs. Ce sont ces quelques cas de violations de droits de l’homme qui ont motivé en partie la mise en place du MIRPDH. Mais cette Ong défend les violations de tous les droits humains sous toutes ses formes », a fait savoir Néou Lassina, président du MIRPDH, au cours d’une rencontre de sensibilisation au respect des droits de l’homme, organisée le 29 Juillet dernier au siège social du MIRPDH à Korhogo, quartier Soba. Le président du MIRPDH, tout en saluant et félicitant les structures sœurs œuvrant déjà dans la défense des droits de l’homme en Côte d’Ivoire, souhaite leur collaboration, en vue de bénéficier de leurs riches et longues expériences professionnelles en matière de défense des droits de l’homme. Au dire du premier responsable du MIRPDH, son mouvement créé en 2016 (récépissé de déclaration d’association N°717 / MEMIS / DGAT / DAG /SDVA du 07 Novembre 2016), revendique près d’une cinquantaine de membres.
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