Danané - Le projet ‘’Dialogue transfrontalier’’, initié par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et exécuté par l’Union du fleuve Mano (UFM) afin de restaurer les relations entre la Côte d’Ivoire et le Liberia après l’épidémie de la fièvre hémorragique à virus Ebola, a été lancé samedi à Danané.
Ce lancement a eu lieu en présence d’une forte délégation libérienne conduite par John Kopa, sous-préfet de Logouatuo, des responsables d’UFM, de l’Unité conjointe et sous la présidence de Goua Bi Lézié, sous-préfet représentant le préfet de Danané.
Reconnaissant que le virus Ebola a fragilisé les rapports de bon voisinage entre ces Etats, jusqu’à la fermeture de frontières, tous les intervenant lors de la cérémonie ont admis la nécessité de passer au rétablissement de la cohésion et de sauvegarder les acquis, par le dialogue.
Pour Gueu Eugénie, présidente de l’unité conjointe de sécurité et de restauration de la confiance de Danané, sélectionnée par l’UFM, ce projet émis est le bienvenu pour rétablir les choses dans l’ordre. « Nous nous engageons à exécuter les activités programmées à cet effet », a-t-elle déclaré.
Selon le représentant du PNUD, Mamadou Konaté, ce projet a trois grandes finalités à savoir renforcer la surveillance sanitaire sur toute la bande frontalière qui part de Taï jusqu’à Touba, permettre le développement des activités génératrices de revenus et renforcer la cohésion sociale et le dialogue transfrontalier dans la région.
Dans le cadre de ce projet, près de 500 relais communautaires sont formés dans 93 localités, pour pouvoir détecter très tôt des maladies dans la communauté ou donner des conseils afin de les éviter.
eb/tad/akn/cmas
Ce lancement a eu lieu en présence d’une forte délégation libérienne conduite par John Kopa, sous-préfet de Logouatuo, des responsables d’UFM, de l’Unité conjointe et sous la présidence de Goua Bi Lézié, sous-préfet représentant le préfet de Danané.
Reconnaissant que le virus Ebola a fragilisé les rapports de bon voisinage entre ces Etats, jusqu’à la fermeture de frontières, tous les intervenant lors de la cérémonie ont admis la nécessité de passer au rétablissement de la cohésion et de sauvegarder les acquis, par le dialogue.
Pour Gueu Eugénie, présidente de l’unité conjointe de sécurité et de restauration de la confiance de Danané, sélectionnée par l’UFM, ce projet émis est le bienvenu pour rétablir les choses dans l’ordre. « Nous nous engageons à exécuter les activités programmées à cet effet », a-t-elle déclaré.
Selon le représentant du PNUD, Mamadou Konaté, ce projet a trois grandes finalités à savoir renforcer la surveillance sanitaire sur toute la bande frontalière qui part de Taï jusqu’à Touba, permettre le développement des activités génératrices de revenus et renforcer la cohésion sociale et le dialogue transfrontalier dans la région.
Dans le cadre de ce projet, près de 500 relais communautaires sont formés dans 93 localités, pour pouvoir détecter très tôt des maladies dans la communauté ou donner des conseils afin de les éviter.
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