Le vernis qui couvrait la rocambolesque évasion de 20 détenus et déférés, le 8 août 2017, au violon du Tribunal d'Abidjan-Plateau, se craquelle.
Aujourd'hui, une idée, plus ou moins claire, des circonstances de la survenue de cet événement, s'étale au grand jour. Au centre, le meurtrier d'un officier des Douanes ivoiriennes. Une sombre affaire de gros sous, visant à obtenir la libération de ce détenu, placé en instruction au 3ème cabinet que dirige Mme Amoita, juge d'instruction, reste le fils d'Ariane de ces évasions massives opérées dans le pur style des scénarios hollywoodiens. Ce que le Procureur de la République, Richard Adou, a mis sur le compte « d'une agression des agents de police en mission de déferrement au palais de justice d’Abidjan-Plateau, par des... suite de l'article sur Soir Info
Aujourd'hui, une idée, plus ou moins claire, des circonstances de la survenue de cet événement, s'étale au grand jour. Au centre, le meurtrier d'un officier des Douanes ivoiriennes. Une sombre affaire de gros sous, visant à obtenir la libération de ce détenu, placé en instruction au 3ème cabinet que dirige Mme Amoita, juge d'instruction, reste le fils d'Ariane de ces évasions massives opérées dans le pur style des scénarios hollywoodiens. Ce que le Procureur de la République, Richard Adou, a mis sur le compte « d'une agression des agents de police en mission de déferrement au palais de justice d’Abidjan-Plateau, par des... suite de l'article sur Soir Info