Contexte de la semaine économique en Algérie
C’est une semaine économique comme nous l’avons dénommée qui va s’articuler autour d’un thème très important axé sur la coopération sud-sud. Vous savez, l’Algérie et la Côte d’Ivoire depuis 1969 entretiennent des relations bilatérales pour la création des économies fortes entre les deux pays.
C’était pour nous la première fois aussi qu’un président de la République ait effectué le déplacement en Algérie rencontrer son homologue algérien. Et l’appel du président Ouattara pendant son séjour en Algérie était le point fort pour rappeler aux algériens et aux entrepreneurs Ivoiriens de se s’accorder pour travailler ensemble.
Donc l’idée pour nous en tant qu’acteurs d’économie, en tant qu’organisation patronale, nous avons jugé très utile de faire revivre les relations entre la Côte d’Ivoire et l’Algérie. Dans ce projet, les démarches sont déjà entreprises. Nous entretenons de bons rapports avec l’ambassadeur de la République populaire d’Algérie en Côte d’Ivoire.
Avec son soutien, nous préparons ce séminaire dans le bon sens avec aussi l’appui du patronat algérien. Cette cérémonie sous l’égide du patronat algérien et le Forum des Chefs d’Entreprises (FCE) en Algérie.
La principale organisation patronale qui nous reçoit pendant cette semaine d’affaires, les entreprises Ivoiriennes, les opérateurs économiques vont échanger avec leurs amis algériens ; rencontrer le savoir-faire algérien ; découvrir leurs produits et voir aussi les opportunités qui peuvent naître dans ce partenariat.
Avis sur la coopération Ivoiro-Algérienne
Il faut remarquer que depuis 1969, les choses n’ont pas véritablement avancé. La réglementation entre ces deux pays n’était pas totalement ouverte. Au point que les investissements algériens se faisaient entre les algériens eux-mêmes. Du coup, l’économie algérienne n’a pas pu avoir la chance d’être propulsée vers d’autre pays africains.
Vers la fin des années 2000, l’Algérie s’est vue obliger de nouer des relations avec d’autres pays de l’Afrique notamment avec la Côte d’Ivoire qui est membre de cette coopération Ivoiro-Algérienne. Nous travaillons justement pour le renforcement de ces capacités, pour permettre à ces deux pays de revivre l’histoire économique qui a été tissée depuis le temps d’Houphouët Boigny mais qui malheureusement n’a pas décollé véritablement du fait des questions de réglementation.
Aujourd’hui, nous avons un niveau d’investissement très bas des algériens. A travers cette semaine, nous voulons faire savoir qu’il y a des produits algériens qui puissent intéresser la Côte d’Ivoire. Et que la Côte d’Ivoire aussi dispose de produits de qualité qui peuvent intéresser l’Algérie. La Côte d’Ivoire devra travailler avec l’Algérie et vice-versa.
Choix de l’Algérie
Dans nos différentes prospections, nous avons découvert que l’Algérie est un grand pays industriel. Au plan économique, l’Algérie présente beaucoup d’atouts que nous ne disposons pas ici en Côte d’Ivoire. En Algérie, c’est l’industrie qui est beaucoup développée.
Donc nous nous sommes dits au niveau du patronat que nous pouvons organiser une semaine d’affaire pour faire connaitre le talent algérien aux entreprises Ivoiriennes. Pour dire que désormais, on n’a pas besoin d’aller en Chine, on n’a pas besoin d’aller en Europe pour s’approprier un produit. Nous avons l’opportunité d’avoir ces produits-là. Pour nous, c’est une manière de capter le marché algérien vers la Côte d’Ivoire.
Préparatifs de la semaine
Les préparatifs vont bon train. Nous sommes en collaboration avec l’Ambassadeur d’Algérie en Côte d’Ivoire qui nous soutient dans notre démarche d’organisation. Une prise en charge de 40% sur le coût de participation sera faite notamment les billets d’avion, les chambres d’hôtels qui sont pris à partir de l’ambassade à Abidjan.
Tout est bien ficelé pour que cette semaine se déroule dans de bonnes conditions. Surtout avec la collaboration de nos amis du FCE du patronat algérien qui nous reçoit pour nous permettre d’être en contact avec des entreprises algériennes soit intéressé vivement de faire des affaires en Côte d’Ivoire. Donc c’est une occasion pour le marché Ivoirien de découvrir des partenaires en Algérie.
Les temps forts
La particularité de cette semaine est différente de celles des salons. Cette fois-ci, nos entreprises, nos participants auront la chance de rencontrer directement des partenaires algériens, de nouer des relations commerciales, des relations d’affaires importantes. L’Algérie est un marché focal pour la Côte d’Ivoire. C’est un marché ouvert. Il y a beaucoup d’entreprises partenaires algériens qui sont intéressés à la Côte d’Ivoire. Et pour nous, les entreprises qui iront avec nous à cette semaine trouveront des solutions pour leurs business, pour leurs activités. C’est l’occasion de rencontrer des partenaires et d’échanger avec eux et travailler au niveau de la Côte d’Ivoire.
Nous disons à tous les opérateurs économiques à toutes les entreprises de Côte d’Ivoire de participer à cette rencontre économique. Parce que c’est une aubaine pour rencontrer leurs homologues algériens et voir comment des partenariats peuvent être contractés. Chaque entreprise qui effectuera le déplacement bénéficiera d’un partenariat solide.
L’Algérie à une politique de financement de toutes les exportations des produits quittant l’Algérie pour l’étranger. Nous voulons bénéficier de cette mesure d’accompagnement de l’Etat algérien qui consiste à financer toute exportation des produits algériens vers d’autres pays. Je pense que nos entreprises qui prendront part à cette semaine bénéficier de ces mesures de soulagement que l’Etat algérien a mis en place pour renforcer un peu la coopération Sud-Sud, entre la Côte d’Ivoire et l’Algérie.
L’Afrique sans industrialisation, quel avenir ?
Oui je suis d’accord. Parce qu’il faut que nos Etats et nos économies passent à la transformation de nos matières premières. C’est ce que l’Algérie fait aujourd’hui. Nous avons suffisamment de produits qui peuvent être transformés localement. On n’a pas besoin d’importer les produits en Europe ou en Asie parce que ces matières premières peuvent être transformés localement et ensuite les exporter vers d’autres pays. Et donc je suis totalement d’avis avec son auteur. Il faut vraiment la transformation de nos économies nationales.
Message aux Ivoiriens de la diaspora
Nous comprenons nos compatriotes qui sont à l’étranger. Aujourd’hui à TECHNOPOLE Holding, nous avons pris des dispositions pour trouver des solutions liées à l’accès de logements par nos concitoyens qui résident dans ces pays étrangers.
Notre particularité aujourd’hui, c’est que chaque Ivoiriende la diaspora qui viendra vers nous aura la possibilité d’avoir sa maison sans apport personnel au préalable. Nous construisons les maisons. Et sur la base d’une garantie par la mutualité. Nous leur demandons de constituer une mutuelle. La diaspora doit être constituée en une seule voie.
Ce qui facilite le financement au niveau de nos partenaires financiers. Donc nous leur demandons tout simplement de se mettre en association de sorte que quand ils viennent vers nous, qu’ils n’aient pas à donner une avance pour la maison. Nous construisons et nous leur faisons ce qu’il est convenu d’appeler ‘‘Clé en main’’. On leur offre la maison toute prête. Et c’est en ce moment-là qu’on demande à leur banque de nous payer sur la base du contrat qui a été élaboré. On les rassure de ne pas s’inquiéter. Nous ne ferons pas comme par le passé où on leur exigeait un taux de participation. Ce n’est pas le cas à TEHNOPOLE Holding
C’est une semaine économique comme nous l’avons dénommée qui va s’articuler autour d’un thème très important axé sur la coopération sud-sud. Vous savez, l’Algérie et la Côte d’Ivoire depuis 1969 entretiennent des relations bilatérales pour la création des économies fortes entre les deux pays.
C’était pour nous la première fois aussi qu’un président de la République ait effectué le déplacement en Algérie rencontrer son homologue algérien. Et l’appel du président Ouattara pendant son séjour en Algérie était le point fort pour rappeler aux algériens et aux entrepreneurs Ivoiriens de se s’accorder pour travailler ensemble.
Donc l’idée pour nous en tant qu’acteurs d’économie, en tant qu’organisation patronale, nous avons jugé très utile de faire revivre les relations entre la Côte d’Ivoire et l’Algérie. Dans ce projet, les démarches sont déjà entreprises. Nous entretenons de bons rapports avec l’ambassadeur de la République populaire d’Algérie en Côte d’Ivoire.
Avec son soutien, nous préparons ce séminaire dans le bon sens avec aussi l’appui du patronat algérien. Cette cérémonie sous l’égide du patronat algérien et le Forum des Chefs d’Entreprises (FCE) en Algérie.
La principale organisation patronale qui nous reçoit pendant cette semaine d’affaires, les entreprises Ivoiriennes, les opérateurs économiques vont échanger avec leurs amis algériens ; rencontrer le savoir-faire algérien ; découvrir leurs produits et voir aussi les opportunités qui peuvent naître dans ce partenariat.
Avis sur la coopération Ivoiro-Algérienne
Il faut remarquer que depuis 1969, les choses n’ont pas véritablement avancé. La réglementation entre ces deux pays n’était pas totalement ouverte. Au point que les investissements algériens se faisaient entre les algériens eux-mêmes. Du coup, l’économie algérienne n’a pas pu avoir la chance d’être propulsée vers d’autre pays africains.
Vers la fin des années 2000, l’Algérie s’est vue obliger de nouer des relations avec d’autres pays de l’Afrique notamment avec la Côte d’Ivoire qui est membre de cette coopération Ivoiro-Algérienne. Nous travaillons justement pour le renforcement de ces capacités, pour permettre à ces deux pays de revivre l’histoire économique qui a été tissée depuis le temps d’Houphouët Boigny mais qui malheureusement n’a pas décollé véritablement du fait des questions de réglementation.
Aujourd’hui, nous avons un niveau d’investissement très bas des algériens. A travers cette semaine, nous voulons faire savoir qu’il y a des produits algériens qui puissent intéresser la Côte d’Ivoire. Et que la Côte d’Ivoire aussi dispose de produits de qualité qui peuvent intéresser l’Algérie. La Côte d’Ivoire devra travailler avec l’Algérie et vice-versa.
Choix de l’Algérie
Dans nos différentes prospections, nous avons découvert que l’Algérie est un grand pays industriel. Au plan économique, l’Algérie présente beaucoup d’atouts que nous ne disposons pas ici en Côte d’Ivoire. En Algérie, c’est l’industrie qui est beaucoup développée.
Donc nous nous sommes dits au niveau du patronat que nous pouvons organiser une semaine d’affaire pour faire connaitre le talent algérien aux entreprises Ivoiriennes. Pour dire que désormais, on n’a pas besoin d’aller en Chine, on n’a pas besoin d’aller en Europe pour s’approprier un produit. Nous avons l’opportunité d’avoir ces produits-là. Pour nous, c’est une manière de capter le marché algérien vers la Côte d’Ivoire.
Préparatifs de la semaine
Les préparatifs vont bon train. Nous sommes en collaboration avec l’Ambassadeur d’Algérie en Côte d’Ivoire qui nous soutient dans notre démarche d’organisation. Une prise en charge de 40% sur le coût de participation sera faite notamment les billets d’avion, les chambres d’hôtels qui sont pris à partir de l’ambassade à Abidjan.
Tout est bien ficelé pour que cette semaine se déroule dans de bonnes conditions. Surtout avec la collaboration de nos amis du FCE du patronat algérien qui nous reçoit pour nous permettre d’être en contact avec des entreprises algériennes soit intéressé vivement de faire des affaires en Côte d’Ivoire. Donc c’est une occasion pour le marché Ivoirien de découvrir des partenaires en Algérie.
Les temps forts
La particularité de cette semaine est différente de celles des salons. Cette fois-ci, nos entreprises, nos participants auront la chance de rencontrer directement des partenaires algériens, de nouer des relations commerciales, des relations d’affaires importantes. L’Algérie est un marché focal pour la Côte d’Ivoire. C’est un marché ouvert. Il y a beaucoup d’entreprises partenaires algériens qui sont intéressés à la Côte d’Ivoire. Et pour nous, les entreprises qui iront avec nous à cette semaine trouveront des solutions pour leurs business, pour leurs activités. C’est l’occasion de rencontrer des partenaires et d’échanger avec eux et travailler au niveau de la Côte d’Ivoire.
Nous disons à tous les opérateurs économiques à toutes les entreprises de Côte d’Ivoire de participer à cette rencontre économique. Parce que c’est une aubaine pour rencontrer leurs homologues algériens et voir comment des partenariats peuvent être contractés. Chaque entreprise qui effectuera le déplacement bénéficiera d’un partenariat solide.
L’Algérie à une politique de financement de toutes les exportations des produits quittant l’Algérie pour l’étranger. Nous voulons bénéficier de cette mesure d’accompagnement de l’Etat algérien qui consiste à financer toute exportation des produits algériens vers d’autres pays. Je pense que nos entreprises qui prendront part à cette semaine bénéficier de ces mesures de soulagement que l’Etat algérien a mis en place pour renforcer un peu la coopération Sud-Sud, entre la Côte d’Ivoire et l’Algérie.
L’Afrique sans industrialisation, quel avenir ?
Oui je suis d’accord. Parce qu’il faut que nos Etats et nos économies passent à la transformation de nos matières premières. C’est ce que l’Algérie fait aujourd’hui. Nous avons suffisamment de produits qui peuvent être transformés localement. On n’a pas besoin d’importer les produits en Europe ou en Asie parce que ces matières premières peuvent être transformés localement et ensuite les exporter vers d’autres pays. Et donc je suis totalement d’avis avec son auteur. Il faut vraiment la transformation de nos économies nationales.
Message aux Ivoiriens de la diaspora
Nous comprenons nos compatriotes qui sont à l’étranger. Aujourd’hui à TECHNOPOLE Holding, nous avons pris des dispositions pour trouver des solutions liées à l’accès de logements par nos concitoyens qui résident dans ces pays étrangers.
Notre particularité aujourd’hui, c’est que chaque Ivoiriende la diaspora qui viendra vers nous aura la possibilité d’avoir sa maison sans apport personnel au préalable. Nous construisons les maisons. Et sur la base d’une garantie par la mutualité. Nous leur demandons de constituer une mutuelle. La diaspora doit être constituée en une seule voie.
Ce qui facilite le financement au niveau de nos partenaires financiers. Donc nous leur demandons tout simplement de se mettre en association de sorte que quand ils viennent vers nous, qu’ils n’aient pas à donner une avance pour la maison. Nous construisons et nous leur faisons ce qu’il est convenu d’appeler ‘‘Clé en main’’. On leur offre la maison toute prête. Et c’est en ce moment-là qu’on demande à leur banque de nous payer sur la base du contrat qui a été élaboré. On les rassure de ne pas s’inquiéter. Nous ne ferons pas comme par le passé où on leur exigeait un taux de participation. Ce n’est pas le cas à TEHNOPOLE Holding