Yamoussoukro - Le Comité départemental de suivi évaluation et de répression de Yamoussoukro a été installé mercredi à l'occasion d'une cérémonie organisée en présence du secrétaire général de préfecture Kouadio Kouakou Arnaud-Mathieu.
Présidé par le préfet de région préfet de département de Yamoussoukro, Brou Kouamé, ce comité est composé de l'ensemble des directeurs régionaux des Ong, des transporteurs, des commerçants et des opérateurs économiques. Son rôle sera de veiller au succès de l'opération grand ménage, de sensibiliser et d'amener les populations à y adhérer.
La directrice régionale de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement durable (DIRSEDD), Rose Chantal Aphing-Kouassi a saisi l’occasion pour faire le bilan de l’opération. Il ressort qu’après six mois d’activité, l’opération est menée avec la participation de 15 Ong sans la participation des populations qui ne sentent pas concernées et dont l’incivisme met en mal la propreté de la ville.
Les acteurs de salubrité ont fait également noter le manque d’intérêt et de coordination entre les autorités locales qui ont la compétence de rendre le cadre de vie agréable.
Les membres du comité de répression ont donc souhaité la poursuite de la sensibilisation qui sera suivie d’une phase de répression, la mise en place d’un tribunal local pour juger les contrevenants. Ils ont, par ailleurs, suggéré une étude sociologique en Côte d’Ivoire pour comprendre l’attitude des populations en matière de salubrité.
(AIP)
nam/fmo
Présidé par le préfet de région préfet de département de Yamoussoukro, Brou Kouamé, ce comité est composé de l'ensemble des directeurs régionaux des Ong, des transporteurs, des commerçants et des opérateurs économiques. Son rôle sera de veiller au succès de l'opération grand ménage, de sensibiliser et d'amener les populations à y adhérer.
La directrice régionale de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement durable (DIRSEDD), Rose Chantal Aphing-Kouassi a saisi l’occasion pour faire le bilan de l’opération. Il ressort qu’après six mois d’activité, l’opération est menée avec la participation de 15 Ong sans la participation des populations qui ne sentent pas concernées et dont l’incivisme met en mal la propreté de la ville.
Les acteurs de salubrité ont fait également noter le manque d’intérêt et de coordination entre les autorités locales qui ont la compétence de rendre le cadre de vie agréable.
Les membres du comité de répression ont donc souhaité la poursuite de la sensibilisation qui sera suivie d’une phase de répression, la mise en place d’un tribunal local pour juger les contrevenants. Ils ont, par ailleurs, suggéré une étude sociologique en Côte d’Ivoire pour comprendre l’attitude des populations en matière de salubrité.
(AIP)
nam/fmo