Les patients de l’hôpital général sont soignés dans des conditions hygiéniques déplorables. Des ordures ménagères ont envahi la partie de la clôture de l’établissement sanitaire située à quelques mètres de la morgue. Ce décor est très dépréciatif pour une ville qui accueille des pèlerins lors des fêtes catholiques.
Même du fond de leurs chambres d’hospitalisation, les malades voient ces tas d’immondices dont l’odeur suffocante est source d’aggravation de leur état de santé. Malgré cette avancée vertigineuse des déchets, les populations des quartiers contigües entretiennent toujours les microbes en continuant d’y déverser des ordures. Selon eux, la faute incombe à la mairie de la cité du rocher qui est incapable de ramasser les ordures.
C’est pourquoi certaines personnes, pour éliminer ces déchets qui s’amoncellent, y mettent du feu afin de les incinérer. Naturellement, quand cela se produit, la fumée envahit tous les services de l’hôpital. Et le personnel reste impuissant. L’hôpital d’Issia ploie aussi sous le poids des petits commerçants. Ils ont installés des étals en face des ordures. Par ailleurs, les bâtiments de la morgue, du service ophtalmologie et des urgences recouverts par la poussière ont besoin de couches de peinture. Enfin, l’espace vert de l’hôpital général est dénaturé. Certains patients et leurs parents ont révélé la peur qui les anime une fois la nuit tombée.
Doumbia Namory
Envoyé spécial
Même du fond de leurs chambres d’hospitalisation, les malades voient ces tas d’immondices dont l’odeur suffocante est source d’aggravation de leur état de santé. Malgré cette avancée vertigineuse des déchets, les populations des quartiers contigües entretiennent toujours les microbes en continuant d’y déverser des ordures. Selon eux, la faute incombe à la mairie de la cité du rocher qui est incapable de ramasser les ordures.
C’est pourquoi certaines personnes, pour éliminer ces déchets qui s’amoncellent, y mettent du feu afin de les incinérer. Naturellement, quand cela se produit, la fumée envahit tous les services de l’hôpital. Et le personnel reste impuissant. L’hôpital d’Issia ploie aussi sous le poids des petits commerçants. Ils ont installés des étals en face des ordures. Par ailleurs, les bâtiments de la morgue, du service ophtalmologie et des urgences recouverts par la poussière ont besoin de couches de peinture. Enfin, l’espace vert de l’hôpital général est dénaturé. Certains patients et leurs parents ont révélé la peur qui les anime une fois la nuit tombée.
Doumbia Namory
Envoyé spécial