Plus d’une vingtaine de femmes pèlerins ont barricadé vendredi le Boulevard Valery Giscard d’Estaing, dans le sud d’Abidjan, pour exiger à une agence privée les documents nécessaires pour leur départ à la Mecque.
« On nous a pris 3 millions de Fcfa pour nous faire partir à la Mecque. On est près de 200 personnes dans cette situation. On nous a dit le 10 août on va partir, ensuite le 17 et le 22 août mais nous sommes toujours là », a affirmé une pèlerine.
Assises sur des bancs, ces femmes ont barré la voie passant près du palais des sports de Treichville dans toute la largeur, obligeant les automobilistes à faire un détour. Une situation qui a occasionné de nombreux embouteillages.
« Que ces genres de trucs s’arrêtent en Côte d’Ivoire. C’est pourquoi nous sommes venues ici pour que le président de la République nous entende pour faire quelque chose pour nous », a-t-elle lancé.
N’ayant pas pu prendre les vols organisés par l’Etat ivoirien, ces pèlerins ont contacté l’agence de voyage privée E.I.M.P.C afin de les aider à obtenir le visa et les documents afférents pour le pèlerinage à la Mecque.
« Ca fait cinq fois qu’ils reportent le départ alors que le hadj commence dimanche à la Mecque », affirmé une autre pèlerine, indiquant que le dernier vol prévu était jeudi à 23H GMT.
Joint au téléphone, un responsable de l’agence de voyage a fait savoir que la structure était à pied d’œuvre afin de « satisfaire » les pèlerins. Il a précisé que le problème se situe au niveau de la délivrance des visas, accordés par l’Arabie Saoudite.
Samedi à minuit, les départs pour le pèlerinage ne pourront plus se faire, ont laissé entendre des pèlerins, qui craignent ne pas pouvoir effectuer de voyage en terre sainte.
En fin de matinée, les femmes pèlerins ont libéré le boulevard à la suite d’un échange avec les forces de l’ordre.
PIG-MC/ap/APA
« On nous a pris 3 millions de Fcfa pour nous faire partir à la Mecque. On est près de 200 personnes dans cette situation. On nous a dit le 10 août on va partir, ensuite le 17 et le 22 août mais nous sommes toujours là », a affirmé une pèlerine.
Assises sur des bancs, ces femmes ont barré la voie passant près du palais des sports de Treichville dans toute la largeur, obligeant les automobilistes à faire un détour. Une situation qui a occasionné de nombreux embouteillages.
« Que ces genres de trucs s’arrêtent en Côte d’Ivoire. C’est pourquoi nous sommes venues ici pour que le président de la République nous entende pour faire quelque chose pour nous », a-t-elle lancé.
N’ayant pas pu prendre les vols organisés par l’Etat ivoirien, ces pèlerins ont contacté l’agence de voyage privée E.I.M.P.C afin de les aider à obtenir le visa et les documents afférents pour le pèlerinage à la Mecque.
« Ca fait cinq fois qu’ils reportent le départ alors que le hadj commence dimanche à la Mecque », affirmé une autre pèlerine, indiquant que le dernier vol prévu était jeudi à 23H GMT.
Joint au téléphone, un responsable de l’agence de voyage a fait savoir que la structure était à pied d’œuvre afin de « satisfaire » les pèlerins. Il a précisé que le problème se situe au niveau de la délivrance des visas, accordés par l’Arabie Saoudite.
Samedi à minuit, les départs pour le pèlerinage ne pourront plus se faire, ont laissé entendre des pèlerins, qui craignent ne pas pouvoir effectuer de voyage en terre sainte.
En fin de matinée, les femmes pèlerins ont libéré le boulevard à la suite d’un échange avec les forces de l’ordre.
PIG-MC/ap/APA