Zio Moussa, reconduit à la présidence de l’observatoire de la liberté de la presse, de l’éthique et de la déontologie (Olped) ce 25 août 2017 par acclamation, s’engage à revitaliser l’organe d’autorégulation. Des recommandations sont également adressées pour la co-régulation et plus de responsabilité des hommes politiques.
Redynamisation, renouvellement, plus de projets et d’actions. L’Observatoire de la liberté de la presse, de l’éthique et de la déontologie (Olped) compte reprendre sa place d’antan et aller plus loin. Pour cela les membres ont proposé la reconduite du président sortant, Zio Moussa.
« Mes remerciements remontent très loin. Depuis la création de l’observatoire pour la confiance que vous avez placée en moi en m’emmenant à l’Unjci. Ensuite j’étais dans le premier bureau avec Alfred Dan Moussa. Je suis là depuis 22 ans. Pour tous ceux qui m’ont fait confiance, je voulais dire merci. C’est important d être quelqu’un qui n’est pas porté sur le matériel« . Ce sont les premiers mots tenus par Zio Moussa.
Le président reconduit promet de ne plus se représenter au terme de ce nouveau bail de quatre ans. Il promet également la parité et le recours aux anciens ainsi qu’aux jeunes. Le congrès a permis également l’adoption de textes peaufinés.
Au jour 4 des travaux, une recommandation spéciale est adressée aux instances de l’Olped issues du congrès afin » de travailler sans délai à la mise en place de mécanismes pertinents pouvant permettre une collaboration intelligente et dynamique entre l’Olped, le CNP et la Haca en vue d’une co-régulation du secteur des médias en Côte d’Ivoire, à l’instar de ce qui se fait déjà dans bon nombre de pays africains comme la République Démocratique du Congo« .
Les autorités de tutelle, les régulateurs, la société civile, les partenaires nationaux et internationaux sont invités à contribuer à la réalisation de cet objectif.
Les participants appellent également les hommes politiques de tous bords à faire preuve de responsabilité dans leurs propos qui seront désormais indexés au même titre que les articles de presse qui en rendront compte.
Placé sous le thème « autorégulation ou comment réinventer le journalisme par l’éthique et la déontologie« , le congrès-colloque s’est tenu les 23, 24,25, et 26 août 2017. La participation d’une centaine de journalistes dont certains sont venus du Bénin, du Burkina Faso, du Ghana et du Sénégal a été enregistrée.
Nesmon De Laure
Redynamisation, renouvellement, plus de projets et d’actions. L’Observatoire de la liberté de la presse, de l’éthique et de la déontologie (Olped) compte reprendre sa place d’antan et aller plus loin. Pour cela les membres ont proposé la reconduite du président sortant, Zio Moussa.
« Mes remerciements remontent très loin. Depuis la création de l’observatoire pour la confiance que vous avez placée en moi en m’emmenant à l’Unjci. Ensuite j’étais dans le premier bureau avec Alfred Dan Moussa. Je suis là depuis 22 ans. Pour tous ceux qui m’ont fait confiance, je voulais dire merci. C’est important d être quelqu’un qui n’est pas porté sur le matériel« . Ce sont les premiers mots tenus par Zio Moussa.
Le président reconduit promet de ne plus se représenter au terme de ce nouveau bail de quatre ans. Il promet également la parité et le recours aux anciens ainsi qu’aux jeunes. Le congrès a permis également l’adoption de textes peaufinés.
Au jour 4 des travaux, une recommandation spéciale est adressée aux instances de l’Olped issues du congrès afin » de travailler sans délai à la mise en place de mécanismes pertinents pouvant permettre une collaboration intelligente et dynamique entre l’Olped, le CNP et la Haca en vue d’une co-régulation du secteur des médias en Côte d’Ivoire, à l’instar de ce qui se fait déjà dans bon nombre de pays africains comme la République Démocratique du Congo« .
Les autorités de tutelle, les régulateurs, la société civile, les partenaires nationaux et internationaux sont invités à contribuer à la réalisation de cet objectif.
Les participants appellent également les hommes politiques de tous bords à faire preuve de responsabilité dans leurs propos qui seront désormais indexés au même titre que les articles de presse qui en rendront compte.
Placé sous le thème « autorégulation ou comment réinventer le journalisme par l’éthique et la déontologie« , le congrès-colloque s’est tenu les 23, 24,25, et 26 août 2017. La participation d’une centaine de journalistes dont certains sont venus du Bénin, du Burkina Faso, du Ghana et du Sénégal a été enregistrée.
Nesmon De Laure
