Le service de communication du ministère de la Justice et et des Droits de l’Homme dans le texte ci-dessous fait une mise au point relativement à l'affaire « des 1097 dossiers retrouvés à la Cour d’Appel », publiée dans la presse. "Les services du Ministère de la Justice et des Droits de l’Homme ne se reconnaissent pas dans les allégations de l’article incriminé".
«Il est fait mention dans la presse en ligne, depuis quelques jours, dans un article relatif à la passation de charges qui a eu lieu à la Cour d’Appel d’Abidjan, d’une affaire dite « des 1097 dossiers retrouvés à la Cour d’Appel », qui aurait été révélée par les émissaires du Ministère de tutelle.
Les services du Ministère de la Justice et des Droits de l’Homme ne se reconnaissent pas dans les allégations de l’article incriminé.
Le Garde des Sceaux, Ministre de la Justice et des Droits de l’Homme tient à indiquer qu’il a une trop haute opinion des fonctions régaliennes qu’il assume, pour que ses services jettent l’opprobre et le discrédit sur un collaborateur ayant exercé sous son autorité.
Par ailleurs, concernant la prétendue pression inexpliquée du Ministère de la Justice en vue de la tenue de cette passation sans observation d’un délai raisonnable, il voudrait rappeler que l’administration de la justice, comme toutes les autres administrations, est soumise au principe de la continuité du service public. Conformément à ce principe, l’autorité nouvellement nommée doit prendre rapidement fonction pour éviter la paralysie du service public ; une exigence d’autant plus valable dans le domaine judiciaire, que les magistrats nommés à d’autres fonctions ne peuvent plus connaitre des affaires dont ils étaient saisis.
Au demeurant, le Ministère de la Justice et des Droits de l’Homme précise que la date de la passation a été fixée d’un commun accord entre l’administration et les magistrats concernés.
Le Chef du Service Communication et Relations Publique Nina NDAH »
«Il est fait mention dans la presse en ligne, depuis quelques jours, dans un article relatif à la passation de charges qui a eu lieu à la Cour d’Appel d’Abidjan, d’une affaire dite « des 1097 dossiers retrouvés à la Cour d’Appel », qui aurait été révélée par les émissaires du Ministère de tutelle.
Les services du Ministère de la Justice et des Droits de l’Homme ne se reconnaissent pas dans les allégations de l’article incriminé.
Le Garde des Sceaux, Ministre de la Justice et des Droits de l’Homme tient à indiquer qu’il a une trop haute opinion des fonctions régaliennes qu’il assume, pour que ses services jettent l’opprobre et le discrédit sur un collaborateur ayant exercé sous son autorité.
Par ailleurs, concernant la prétendue pression inexpliquée du Ministère de la Justice en vue de la tenue de cette passation sans observation d’un délai raisonnable, il voudrait rappeler que l’administration de la justice, comme toutes les autres administrations, est soumise au principe de la continuité du service public. Conformément à ce principe, l’autorité nouvellement nommée doit prendre rapidement fonction pour éviter la paralysie du service public ; une exigence d’autant plus valable dans le domaine judiciaire, que les magistrats nommés à d’autres fonctions ne peuvent plus connaitre des affaires dont ils étaient saisis.
Au demeurant, le Ministère de la Justice et des Droits de l’Homme précise que la date de la passation a été fixée d’un commun accord entre l’administration et les magistrats concernés.
Le Chef du Service Communication et Relations Publique Nina NDAH »