Au petit matin du dimanche 3 septembre 2017, une centaine de prisonniers, sur près de 300 que compte la maison d'arrêt et de correction de Katiola, se sont fait la belle.
Une énième évasion qui vient rallonger le chapelet d'attaques contre les prisons, lesquelles ont lâché ainsi dans la nature de dangereux criminels. En effet, avant Katiola, le même scénario s'était produit au palais de justice au Plateau, à Gagnoa, à Dimbokro. Et cela, en moins de quatre mois. La récurrence avec laquelle surviennent ces évasions, parfois spectaculaires, est de nature à inquiéter sérieusement. Surtout que, dans la plupart des cas, les redoutables gangsters qui se sont fondus dans la nature n'ont plus été rattrapés. Ils constituent donc un danger potentiel aussi bien pour les juges... suite de l'article sur Soir Info
Une énième évasion qui vient rallonger le chapelet d'attaques contre les prisons, lesquelles ont lâché ainsi dans la nature de dangereux criminels. En effet, avant Katiola, le même scénario s'était produit au palais de justice au Plateau, à Gagnoa, à Dimbokro. Et cela, en moins de quatre mois. La récurrence avec laquelle surviennent ces évasions, parfois spectaculaires, est de nature à inquiéter sérieusement. Surtout que, dans la plupart des cas, les redoutables gangsters qui se sont fondus dans la nature n'ont plus été rattrapés. Ils constituent donc un danger potentiel aussi bien pour les juges... suite de l'article sur Soir Info