Les responsables de la société ivoirienne de coco rapé (Sicor) ont expliqué vendredi 8 septembre 2017 à Sidiki Diakité, le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, les difficultés qu’ils rencontrent dans l’exercice de leurs activités.
Au sortir de la rencontre au cabinet du ministère de l’Intérieur et de la Sécurité au Plateau, Alain Kouadio, le président du conseil d’administration (Pca) de la société exploitante de la noix de coco, a fait savoir : « Depuis le 2 novembre 2016, la Sicor a signé un protocole avec l’Etat de Côte d’Ivoire. Ce protocole devrait mettre fin à des années de contentieux avec les riverains qui entravaient bonne marche de la société. Malheureusement, ce protocole ne se déroule pas comme souhaité. Nous avons rencontré des difficultés sur le terrain, dans la gestion des activités. Ce sont ces difficultés que nous sommes venus raconter au ministre. Nous retournons avec de grands espoirs que tous les problèmes sécuritaires rencontrés seront réglés dans un délai très court. » Selon lui, les difficultés qu’ils rencontrent sur le terrain sont liés à des vols et des violences. « Sur le terrain, nous avons des difficultés à exploiter notre production agricole, nous subissons des vols de nos matières premières, nous subissons des violences de certaines personnes qui sont contre la mise en place de ce protocole », a-t-il expliqué. Alain Kouadio a, enfin, soutenu que sa délégation a été rassurée par le ministre Sidiki Diakité et part « satisfaite » tout en souhaitant que ces problèmes sécuritaires seront définitivement résolus. Il était accompagné notamment de Hussein Sayegh, Doua Bi Kalou, respectivement Directeur général et administrateur de la société. Cette société est l’unique entreprise de transformation de noix de coco en Afrique de l’ouest. De 2009 à 2016, elle avait interrompu ses activités d’exploitation des plantations sur ses sites de Jacqueville, Grand-Lahou et Gliké (dans la région des Grands ponts, au sud du pays) en raison d’un différend foncier avec les riverains. Mais, ce différend avait été dénoué grâce à la signature d’une convention liant l’Etat, le concessionnaire et les communautés villageoises des Grands ponts.
Alex A
Au sortir de la rencontre au cabinet du ministère de l’Intérieur et de la Sécurité au Plateau, Alain Kouadio, le président du conseil d’administration (Pca) de la société exploitante de la noix de coco, a fait savoir : « Depuis le 2 novembre 2016, la Sicor a signé un protocole avec l’Etat de Côte d’Ivoire. Ce protocole devrait mettre fin à des années de contentieux avec les riverains qui entravaient bonne marche de la société. Malheureusement, ce protocole ne se déroule pas comme souhaité. Nous avons rencontré des difficultés sur le terrain, dans la gestion des activités. Ce sont ces difficultés que nous sommes venus raconter au ministre. Nous retournons avec de grands espoirs que tous les problèmes sécuritaires rencontrés seront réglés dans un délai très court. » Selon lui, les difficultés qu’ils rencontrent sur le terrain sont liés à des vols et des violences. « Sur le terrain, nous avons des difficultés à exploiter notre production agricole, nous subissons des vols de nos matières premières, nous subissons des violences de certaines personnes qui sont contre la mise en place de ce protocole », a-t-il expliqué. Alain Kouadio a, enfin, soutenu que sa délégation a été rassurée par le ministre Sidiki Diakité et part « satisfaite » tout en souhaitant que ces problèmes sécuritaires seront définitivement résolus. Il était accompagné notamment de Hussein Sayegh, Doua Bi Kalou, respectivement Directeur général et administrateur de la société. Cette société est l’unique entreprise de transformation de noix de coco en Afrique de l’ouest. De 2009 à 2016, elle avait interrompu ses activités d’exploitation des plantations sur ses sites de Jacqueville, Grand-Lahou et Gliké (dans la région des Grands ponts, au sud du pays) en raison d’un différend foncier avec les riverains. Mais, ce différend avait été dénoué grâce à la signature d’une convention liant l’Etat, le concessionnaire et les communautés villageoises des Grands ponts.
Alex A