Séguéla – Au nombre de 11 sur un effectif de 92, des agents en service à la mairie de Séguéla (Centre-ouest, région du Worodougou) sont en grève depuis mardi, a appris l’AIP mercredi auprès du délégué du personnel, Koné Namory.
Ces anciens qui étaient en poste dans les zones Centre, Nord, Ouest (CNO, ex-assiégées) réclament 83 mois d’arriérés de salaire à l’Etat ivoirien sur la période allant de 2002 à 2008.
« En mars, on nous a fait des promesses qui ne sont pas réalisées car il était prévu qu’au deuxième trimestre de 2017, ils allaient nous verser quelque chose », a relaté le responsable syndical au téléphone, tout en insistant sur l’implication de tous les concernés.
Quatre entités, à savoir le Syndicat national des personnels des collectivités de Côte d’Ivoire (SYNAPECO-CI), le Mouvement pour la défense des droits des agents municipaux de Côte d’Ivoire (MODDAM-CI), le Syndicat national des policiers municipaux de Côte d’Ivoire (SYNAPOMU-CI) et le Syndicat national des personnels des communes et districts ivoiriens (NYNAPECODI) sont à l’initiative de cet arrêt de travail de 72 heures reconductibles chaque semaine, si les desiderata d’un échéancier précis et de paiement ne sont pas satisfaits.
D’un coût global initial de 18 milliards de francs CFA, ces arriérés de salaire concernent plus de 3000 agents des ex-zones CNO.
kkp/cmas
Ces anciens qui étaient en poste dans les zones Centre, Nord, Ouest (CNO, ex-assiégées) réclament 83 mois d’arriérés de salaire à l’Etat ivoirien sur la période allant de 2002 à 2008.
« En mars, on nous a fait des promesses qui ne sont pas réalisées car il était prévu qu’au deuxième trimestre de 2017, ils allaient nous verser quelque chose », a relaté le responsable syndical au téléphone, tout en insistant sur l’implication de tous les concernés.
Quatre entités, à savoir le Syndicat national des personnels des collectivités de Côte d’Ivoire (SYNAPECO-CI), le Mouvement pour la défense des droits des agents municipaux de Côte d’Ivoire (MODDAM-CI), le Syndicat national des policiers municipaux de Côte d’Ivoire (SYNAPOMU-CI) et le Syndicat national des personnels des communes et districts ivoiriens (NYNAPECODI) sont à l’initiative de cet arrêt de travail de 72 heures reconductibles chaque semaine, si les desiderata d’un échéancier précis et de paiement ne sont pas satisfaits.
D’un coût global initial de 18 milliards de francs CFA, ces arriérés de salaire concernent plus de 3000 agents des ex-zones CNO.
kkp/cmas