Korhogo – Des Officiers de police judiciaire (OPJ) et des Défenseurs des droits de l’Homme (DDH) ont déclaré avoir « beaucoup appris » au sortir d’un atelier sur le cadre juridique national et international de leurs activités qui a pris fin vendredi à Korhogo.
« On n’avait pas suffisamment de connaissances au plan légal et cela nous freinait un peu. Mais au sortir de cette formation, je me sens plus à l’aise parce que j’en sais plus sur le droit des minorités, des personnes vulnérables ou des LGBT (ndlr : lesbiennes, gay, transsexuels, etc.) par exemple, a confié un gendarme qui a requis l'anonymat.
Avant lui, le président de la section locale de l’Association pour la Promotion des Droits Humains (APDH), Touré Moussa, a remercié, au nom des participants, les organisateurs et formateurs. L’atelier leur a permis d’être « mieux outillés » pour assurer la promotion et la protection des droits de l’homme, notamment de celui des défenseurs de DDH.
Par sa voix, les 25 apprenants se sont engagés à mettre en pratique « tout » ce qu’ils ont appris pendant cette formation qui a porté sur « les mécanismes et instruments internationaux de protection des DDH » et sur leur rôle dans la défense et la promotion des personnes vulnérables.
L’atelier qui a duré de mardi à vendredi se situait dans le cadre de la mise en œuvre des activités du projet de Promotion et de Protection des Défenseurs des Droits de l’Homme (PRODEF), mené conjointement par la section française d’Avocats Sans Frontière et l’Association des Femmes Juristes de Côte d’Ivoire (AFJCI), avec le soutien financier l’Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID).
kaem/kam
« On n’avait pas suffisamment de connaissances au plan légal et cela nous freinait un peu. Mais au sortir de cette formation, je me sens plus à l’aise parce que j’en sais plus sur le droit des minorités, des personnes vulnérables ou des LGBT (ndlr : lesbiennes, gay, transsexuels, etc.) par exemple, a confié un gendarme qui a requis l'anonymat.
Avant lui, le président de la section locale de l’Association pour la Promotion des Droits Humains (APDH), Touré Moussa, a remercié, au nom des participants, les organisateurs et formateurs. L’atelier leur a permis d’être « mieux outillés » pour assurer la promotion et la protection des droits de l’homme, notamment de celui des défenseurs de DDH.
Par sa voix, les 25 apprenants se sont engagés à mettre en pratique « tout » ce qu’ils ont appris pendant cette formation qui a porté sur « les mécanismes et instruments internationaux de protection des DDH » et sur leur rôle dans la défense et la promotion des personnes vulnérables.
L’atelier qui a duré de mardi à vendredi se situait dans le cadre de la mise en œuvre des activités du projet de Promotion et de Protection des Défenseurs des Droits de l’Homme (PRODEF), mené conjointement par la section française d’Avocats Sans Frontière et l’Association des Femmes Juristes de Côte d’Ivoire (AFJCI), avec le soutien financier l’Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID).
kaem/kam