Abengourou - Une vingtaine de défenseurs des droits de l’homme de la région de l’Indénié-Djuablin, notamment, des officiers de police judiciaire (OPJ) et des membres des organisations de la société civile, ont été instruits mercredi et jeudi sur la loi n°2014-388 du 20 juin 2014 portant protection des défenseurs des droits de l’homme en côte d’Ivoire au cours d’un atelier organisé à leur intention par le centre d’information juridique (CIJ) d’Abengourou.
Selon le responsable local de cette structure, l’objectif était de permettre à ces acteurs impliqués dans la protection des droits humains de se familiariser avec cette loi qui définit le cadre juridique de protection des défenseurs des droits de l’homme en Côte d’Ivoire afin d’en tenir compte dans l’accomplissement de leur mission.
Cet atelier, qui s’inscrivait dans le cadre du projet de promotion et de protection des défenseurs des droits de l’homme (PRODEF), visait, par ailleurs, à sensibiliser ces défenseurs des droits humains afin qu’ils s’impliquent dans la vulgarisation de cet instrument juridique adopté par l’Etat pour leur permettre d’exercer en toute légalité et en toute quiétude eux qui sont souvent victimes de menaces et d’intimidation sur le terrain.
Au nom de l’ensemble des participants, la présidente de la fédération des mouvements féminins de la commune d’Abengourou (FEMFECA), Koné Kofimba, a salué cette « belle initiative » qui leur permet de se familiariser avec cette loi. Elle a assuré les initiateurs de l’atelier de leur engagement en assurer la vulgarisation auprès de leurs membres respectifs et dans l’ensemble de la communauté.
rkk
Selon le responsable local de cette structure, l’objectif était de permettre à ces acteurs impliqués dans la protection des droits humains de se familiariser avec cette loi qui définit le cadre juridique de protection des défenseurs des droits de l’homme en Côte d’Ivoire afin d’en tenir compte dans l’accomplissement de leur mission.
Cet atelier, qui s’inscrivait dans le cadre du projet de promotion et de protection des défenseurs des droits de l’homme (PRODEF), visait, par ailleurs, à sensibiliser ces défenseurs des droits humains afin qu’ils s’impliquent dans la vulgarisation de cet instrument juridique adopté par l’Etat pour leur permettre d’exercer en toute légalité et en toute quiétude eux qui sont souvent victimes de menaces et d’intimidation sur le terrain.
Au nom de l’ensemble des participants, la présidente de la fédération des mouvements féminins de la commune d’Abengourou (FEMFECA), Koné Kofimba, a salué cette « belle initiative » qui leur permet de se familiariser avec cette loi. Elle a assuré les initiateurs de l’atelier de leur engagement en assurer la vulgarisation auprès de leurs membres respectifs et dans l’ensemble de la communauté.
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