Abidjan - Le mouvement ivoirien des droits Humains (MIDH) recommande la suppression de l’ensemble des cotisations annexes dans les établissements scolaires publics de Côte d’Ivoire et l’a signifié mardi, à son siège à Abidjan, lors d’un point de presse relatif à la perturbation de la rentrée scolaire consécutive à la contestation de l’écolage par la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI).
Selon son secrétaire général, Me Coulibaly Brahima, les cotisations exceptionnelles levées par les conseils de gestion (COGES) et les autres cotisations, notamment le prix des photos, les enveloppes timbrées, les macarons, les visites médicales, les papiers hygiéniques et autres n’ont aucun fondement. Il a, entre autre, recommandé d’interdire le payement des frais complémentaires par les élèves affectés dans les établissements privés.
« Ces différents frais constituent un frein à l’exercice du droit à l’éducation et risquent de nuire à leur réalisation. Les frais d’inscription, les frais annexes et les frais complémentaires jettent à la rue tous les enfants dont les parents ne peuvent s’acquitter ces frais », a dénoncé Me Coulibaly qui co-animait ce point de presse avec le chargé de programme éducation et formation de base du MIDH, Dahou Amadou.
Pour eux, l’Etat de Côte d’Ivoire devrait augmenter les indemnités de fonction des chefs d’établissements et de leurs adjoints et créer les conditions de sécurité nécessaires à une reprise sereine de l’année scolaire. Ils ont recommandé à la FESCI de revendiquer sans violence les meilleures conditions sociales et d’études au profit de leur corporation, dans le strict respect des textes et principes en vigueur.
Des incidents ont éclatés dans certains établissements scolaires suite à l’appel de la FESCI à des manifestations contre les frais d’écolage, notamment les frais annexes, depuis la rentrée scolaires du 11 septembre, rappelle-t-on.
gak/fmo
Selon son secrétaire général, Me Coulibaly Brahima, les cotisations exceptionnelles levées par les conseils de gestion (COGES) et les autres cotisations, notamment le prix des photos, les enveloppes timbrées, les macarons, les visites médicales, les papiers hygiéniques et autres n’ont aucun fondement. Il a, entre autre, recommandé d’interdire le payement des frais complémentaires par les élèves affectés dans les établissements privés.
« Ces différents frais constituent un frein à l’exercice du droit à l’éducation et risquent de nuire à leur réalisation. Les frais d’inscription, les frais annexes et les frais complémentaires jettent à la rue tous les enfants dont les parents ne peuvent s’acquitter ces frais », a dénoncé Me Coulibaly qui co-animait ce point de presse avec le chargé de programme éducation et formation de base du MIDH, Dahou Amadou.
Pour eux, l’Etat de Côte d’Ivoire devrait augmenter les indemnités de fonction des chefs d’établissements et de leurs adjoints et créer les conditions de sécurité nécessaires à une reprise sereine de l’année scolaire. Ils ont recommandé à la FESCI de revendiquer sans violence les meilleures conditions sociales et d’études au profit de leur corporation, dans le strict respect des textes et principes en vigueur.
Des incidents ont éclatés dans certains établissements scolaires suite à l’appel de la FESCI à des manifestations contre les frais d’écolage, notamment les frais annexes, depuis la rentrée scolaires du 11 septembre, rappelle-t-on.
gak/fmo