Dans un communiqué, la CPI estime ce mardi 26 septembre que la détention est la seule mesure qui garantisse la participation de l’ancien président à son procès.
En juillet dernier, une première décision de la chambre de première instance de la Cour pénale internationale (CPI) avait été cassée en appel. Mais le réexamen de la demande de Laurent Gbagbo n’a rien changé à la sentence finale : la CPI a rejeté la demande de remise en liberté de l’ancien président ivoirien.
Dans un communiqué publié mardi 26 septembre, la Cour estime « que la détention demeure la seule mesure qui garantisse la participation de Laurent Gbagbo au procès, et qu’elle est donc raisonnable, appropriée et nécessaire. » « L’existence d’un réseau de partisans qui pourrait... suite de l'article sur Jeune Afrique
En juillet dernier, une première décision de la chambre de première instance de la Cour pénale internationale (CPI) avait été cassée en appel. Mais le réexamen de la demande de Laurent Gbagbo n’a rien changé à la sentence finale : la CPI a rejeté la demande de remise en liberté de l’ancien président ivoirien.
Dans un communiqué publié mardi 26 septembre, la Cour estime « que la détention demeure la seule mesure qui garantisse la participation de Laurent Gbagbo au procès, et qu’elle est donc raisonnable, appropriée et nécessaire. » « L’existence d’un réseau de partisans qui pourrait... suite de l'article sur Jeune Afrique