Abidjan - La Fédération atlantique des agences de presse d’Afrique (FAAPA) a été qualifiée jeudi, d’outil de plaidoyer et également de formation professionnelle pour le développement des agences membres, par son président, Khalil Hachimi Idrissi, lors de la rencontre hors siège, de la 5è réunion du Conseil exécutif de ladite organisation à Abidjan.
Soulignant la méconnaissance de l’importance des agences de presse dans certains pays africains et l’insuffisance de moyens financiers mis à leur disposition, le président de la FAAPA a justifié l’avènement de leur institution en vue d’une meilleure visibilité sur leur rôle de vecteur « puissant » d’information et de formation professionnelle.
«A ce propos, le lancement de l’appel de Casablanca qui préconise la contractualisation des rapports liant les agences de presse africaines à leurs États respectifs, a permis de sensibiliser les décideurs dans de nombreuses capitales africaines pour appuyer le développement de l’agence de presse de leur pays et lui apporter l’aide nécessaire pour assurer son rayonnement », a souligné M. Hachimi.
Concernant le volet formation, il a relevé la création du Centre africain de formation des journalistes (CAFJ) et l’organisation de cycles de formation sur le journalisme web, économique et financier. « Ce centre de formation, dont la création démontre la capacité de la FAAPA à fédérer les forces des agences de presse africaines dans le domaine aussi stratégique que la circulation de l’information et l’échange des produits multimédias devrait accueillir chaque année une soixantaine de journalistes des agences de presse africaines » , a ajouté le président de la FAAPA.
La FAAPA a pour objectifs de mettre en place un partenariat stratégique et de développer des relations professionnelles entre les agences de presse, de consolider la libre circulation de l’information et de renforcer la coopération et la coordination au niveau des forums régionaux et internationaux.
Pour atteindre ses objectifs, cette institution qui a été créée en 2014, tient annuellement une Assemblée générale et deux réunions du Conseil exécutif. Dix participants, directeurs généraux et experts d’agences de presse et de l’information ainsi que du multimédia, sont présents à ce rendez-vous d’Abidjan, rappelle-t-on.
amak/fmo
Soulignant la méconnaissance de l’importance des agences de presse dans certains pays africains et l’insuffisance de moyens financiers mis à leur disposition, le président de la FAAPA a justifié l’avènement de leur institution en vue d’une meilleure visibilité sur leur rôle de vecteur « puissant » d’information et de formation professionnelle.
«A ce propos, le lancement de l’appel de Casablanca qui préconise la contractualisation des rapports liant les agences de presse africaines à leurs États respectifs, a permis de sensibiliser les décideurs dans de nombreuses capitales africaines pour appuyer le développement de l’agence de presse de leur pays et lui apporter l’aide nécessaire pour assurer son rayonnement », a souligné M. Hachimi.
Concernant le volet formation, il a relevé la création du Centre africain de formation des journalistes (CAFJ) et l’organisation de cycles de formation sur le journalisme web, économique et financier. « Ce centre de formation, dont la création démontre la capacité de la FAAPA à fédérer les forces des agences de presse africaines dans le domaine aussi stratégique que la circulation de l’information et l’échange des produits multimédias devrait accueillir chaque année une soixantaine de journalistes des agences de presse africaines » , a ajouté le président de la FAAPA.
La FAAPA a pour objectifs de mettre en place un partenariat stratégique et de développer des relations professionnelles entre les agences de presse, de consolider la libre circulation de l’information et de renforcer la coopération et la coordination au niveau des forums régionaux et internationaux.
Pour atteindre ses objectifs, cette institution qui a été créée en 2014, tient annuellement une Assemblée générale et deux réunions du Conseil exécutif. Dix participants, directeurs généraux et experts d’agences de presse et de l’information ainsi que du multimédia, sont présents à ce rendez-vous d’Abidjan, rappelle-t-on.
amak/fmo