Au quatrième jour de son témoignage à la Cour pénale internationale (CPI) dans le procès de l’ancien chef d’État ivoirien Laurent Gbagbo et de son bras droit Charles Blé Goudé, le général Philippe Mangou, ex-chef d’état-major des armées, est revenu jeudi 28 septembre sur la question des mercenaires et des miliciens, utilisés par le camp Gbagbo, ainsi que sur la répression de certaines manifestations proches d’Alassane Ouattara lors de la crise postélectorale.
Tirs de mortiers
« Lorsque le président Laurent Gbagbo a su que des obus avaient été utilisés, il a posé des questions sur comment cela s’est passé. Et nous lui avons donné la réponse. Mais nous-mêmes, nous n’étions pas sur les lieux pour lui donner l’ampleur des dégâts, savoir si des... suite de l'article sur Jeune Afrique
Tirs de mortiers
« Lorsque le président Laurent Gbagbo a su que des obus avaient été utilisés, il a posé des questions sur comment cela s’est passé. Et nous lui avons donné la réponse. Mais nous-mêmes, nous n’étions pas sur les lieux pour lui donner l’ampleur des dégâts, savoir si des... suite de l'article sur Jeune Afrique